Bonsoir Krokodilo,
Une nouvelle fois, vous aurez constaté que certains — en fait toujours les mêmes (même s’il y a aujourd’hui quelques petits nouveaux) — sont venus faire un petit tour sur votre article ; histoire de déverser leur fiel, leur venin, sur une langue construite (et non artificielle, comme disent les ignorants) dont ils ignorent absolument tout, mais dont la simple évocation des neuf lettres qui composent le nom leur donne des boutons...
Alors ?
Eh bien ils viennent se gratter dans les commentaires. Si ça peut les soulager...
Il n’empêche que le problème de la communication internationale existe bel et bien, même s’il est nié. Une question sur laquelle les gratteurs n’ont probablement jamais réfléchi. Ainsi sont les hommes / Tiaj estas homoj.
Les BRICS s’attelleront-ils à cette communication internationale, qui en fait est le thème de votre article ?
On peut l’espérer, mais rien n’est sûr : la sottise humaine se portant bien.
En effet, à ce jour je n’ai rien remarqué, tant au sommet de Johannesbourg qu’à la conférence de Valdaï, qui donnerait à penser qu’ils vont aller dans cette direction... Remettre en cause le tout-anglais. Car il s’agit bien de ça, et de rien d’autre : n’en déplaise aux ignorants.
Mais l’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. Je l’espère pour le futur de l’humanité. Un futur que notre génération ne verra pas mais qu’elle contribuera peut-être à enfin mettre en place.
Et tant pis pour les sots qui ressassent leurs fadaises sur un sujet, la communication internationale dont ils ignorent tout. Je l’ai déjà dit.
Mais, optimiste incorrigible, on va miser sur leur intelligence et leur faire une suggestion de lecture : « Le Défi des Langues : du gâchis au bon sens. » par Claude Piron. Ed. l’Harmattan. Un bouquin qui n’a pas pris une ride depuis 1994, sauf sur la question de la traduction automatique : forcément.
prix neuf : 32 euros.
Fartu bone, kaj bonan kuraghon.
Thierry Saladin