@Grincheux
J’admire votre propension à détourner l’attention des lecteurs en évoquant des faits qui n’ont que peu sinon rien à voir avec le sujet.
Le pet des éléphants sauvages n’est pas une émission anthopique. Avant l’ère industrielle, ces animaux pétaient déjà, et en bien plus grand nombre, sans que cela ait jamais posé problème. D’ailleurs, quand bien même on les exterminerait totalement (ce qui n’est pas loin d’arriver), cela ne changerait pas grand chose au problème de fond dont il est question ici.
En l’occurrence, ce ne sont pas les pets des poissons rouges, des chiens ou des chats qui posent problème, mais l’énormité de la consommation de ressources essentielles (notamment d’énergie) et les rejets industriels qui résultent de leur élevage.
Or, la présence de l’immense majorité de nos animaux de compagnie est de notre seul fait, et résulte de nos seuls choix. On pourrait donc aisément décider de s’en passer.
Rien que pour les chiens ou les chats, il est question de centaines de millions d’individus, principalement situés (sans surprise) dans des pays riches dont les modes de vie en font par ailleurs les principaux responsables actuels de l’épuisement des ressources et du saccage de la planète.
Si l’impact d’un animal de compagnie ne représente qu’un dixième de l’impact d’un habitant d’un pays riche, alors cela signifie que cet impact est encore nettement supérieur à celui d’un habitant du reste du monde. Globalement, l’impact de nos animaux de compagnie équivaudrait à celui de plus d’un milliard d’humains lambda. Excusez du peu !