@troletbuse
Les vaccins prennent beaucoup de place dans l’univers médiatique. Il est question des vaccins pour « protéger sa santé ». Et on comprend bien que s’il faut se faire vacciner c’est pour être en meilleure santé. D’où l’insistance des pouvoirs publics qui ont cette idée en tête : protéger la santé des populations.
Voilà le niveau minable de réflexion atteint. Ce sont donc les « méchants virus » le « gros » problème contre lequel il faut lutter pied à pied pour conserver notre santé. Le gouvernement a cette magnifique idée en tête qui est celle de protéger la santé des gens.
Je crois que j’ai été assez redondant sur le fait de « protéger la santé ».
En revanche « quid » des autres aspects de notre vie pour « protéger notre santé ». Y a t-il un pilote dans l’avion ? Il parait que l’on « soigne » les gens à force de médicaments. Les médicaments seraient donc efficaces pour soigner les maladies ? Apaisez les symptômes, peut être, mais guérir les maladies, non pas vraiment. Les antibiotiques et les antiparasitaires sont sans doute les seules molécules qui ont une action très efficace dans l’organisme pour nous débarrasser des bactéries, de leurs toxines, et des parasites.
L’argument gouvernemental de la « vaccination pour protéger la santé » est une énormité parce que les preneurs de décision se contrefichent de la santé des populations. La pandémie de surpoids et d’obésité passe pratiquement inaperçue. Ce n’est visiblement pas un souci majeur.
Rapport du Sénat du 29 juin 2022.
Sur la pandémie d’obésité : « La médecine, qui permet de comprendre et de traiter les cas individuels, semble impuissante à modifier à elle seule les causes de la maladie, parce qu’elles dépendent largement de l’évolution de la société. C’est au politique d’agir pour changer le cours des événements »
... « Le covid-19 est la dernière pathologie associée à l’obésité. Les données issues des études successivement conduites ont confirmé les résultats que recueillaient, dès le début de l’épidémie en avril 2020,les équipes du CHRU de Lille12(*) : plus de 47 % des patients infectés entrant en réanimation étaient en situation d’obésité, et une forme sévère d’obésité augmentait significativement le risque d’être placé sous respiration mécanique invasive, indépendamment de l’âge, de l’hypertension artérielle ou d’un diabète. Le risque de décès par covid-19 est également fortement accru pour les patients atteints d’obésité. La relation entre obésité et forme sévère de covid-19 est plus marquée chez les patients jeunes. »...
Les « virus » ont bon dos.