@Eric F
On peut faire dire ce que l’on veut à ce genre d’étude puisqu’il s’agit de répondre à un « questionnaire ».
... « Ces évolutions doivent être analysées avec prudence ; les espérances de vie sans incapacité, pour être calculées, nécessitent de disposer d’estimations de la part de la population déclarant être limitée depuis au moins six mois dans les activités que les gens font habituellement du fait d’un problème de santé. Ces estimations sont obtenues à l’aide d’une enquête2qui usuellement est collectée par des entretiens en face-à-face mais qui, dans le contexte pandémique des années 2020 et 2021, a dû être collectée au téléphone, avant que la situation ne revienne à la normale en 2022. Or, une partie des personnes déclarant des limitations dans leurs activités sont plus difficiles à joindre en téléphone qu’en face-à-face, ce qui a pu conduire à sous-estimer la prévalence des limitations dans la population. Il est également possible que les réponses diffèrent suivant qu’elles sont obtenues par téléphone ou en face-à-face. »...
Dès l’instant où un être humain est en surpoids ou obèse, alors il est en mauvaise santé.
La « notion » de bonne santé est tout à fait relative. Les gens « se pensent » en bonne santé, et répondent au « questionnaire » en conséquence« . Et ces personnes, majoritairement, prennent des médicaments pratiquement quotidiennement, pour leur »tension« pour leur »cholestérol« , pour leur »prostate« , pour leur »diabète« . Mais elles sont en »bonne santé« selon le »questionnaire".
Et puis de nombreuses personnes ont du mal à avouer qu’elles ne peuvent plus avoir l’activité des années passées. Sauter sur un chaise à pieds joints ? Mais il ne s’agit pas d’une activité du quotidien ça ! Allez du frigo au canapé ? Sans problème : je suis en bonne santé !