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Commentaire de Christophe

sur Depardieu, la procureure et la bonne conscience


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Christophe 14 janvier 2024 00:57

@sylviadandrieux

Bien avant le phénomène « me too » les femmes étaient quantité négligeable pour les hommes et qui n’avaient que peu de place dans la société.

Je ne sais pas où vous avez vécu avant le mouvement « me too » mais je suis en total désaccord avec votre propos. Il y a environ 30 ans je travaillais déjà sur des analyse sur l’égalité des salaires entre les femmes et les hommes, les féministes n’ont pas attendu « me too » pour revendiquer une égalité que personnellement j’ai toujours jugé légitime. Il faut d’ailleurs noté que dans les années 1990 jusqu’aux années 2000 où j’ai travaillé sur l’égalité de traitement salarial, il y avait des salaires moins élevés pour les femmes qui faisaient des travaux considérés « culturellement » comme travaux d’homme mais il y avait les mêmes écarts en défaveur des hommes pour les travaux considérés comme métiers de femmes.

Historiquement, le mouvement féministe est né au XIXème siècle principalement pour le droit de vote, le droit à l’éducation. Une seconde grande vague entre 1960 à 2000 avec principalement la dénonciation du rôle des femmes dans la société. Ces combats étaient de mon point de vue légitime et beaucoup d’hommes y ont adhéré.

Aujourd’hui elles ne revendiquent plus l’égalité, elles réclament vengeance pour tous ce qu’elles imaginent que leurs ancêtres femmes ont vécu. Elle revendiquent jusqu’à la supériorité de la femme sur l’homme c’est ce qui fait qu’elle deviennent insupportables et malsaines ; je parle bien des féministes, pas des femmes dont beaucoup ne se reconnaissent plus du tout dans le mouvement féministe tel qu’il est devenu.



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