@Fergus
Toujours dans la propagande Fergus. Démonstration.
La mortalité dans les Ehpad a connu un « pic » lorsque les taux de pollution ont particulièrement été augmentés en mars-avril 2020 et cette mortalité est redescendu lorsque les taux de pollution sont revenus à la normale. La vaccination n’a eu aucune incidence sur la mortalité.
Par ailleurs, ceux qui ont payé le plus lourd tribu à cette maladie respiratoire ont été les « obèses » suivis par ceux qui avaient un système immunitaire défaillant (les diabétiques, les hypertendus, les insuffisants rénaux, les cancéreux).
Voilà le tableau. Vous nous racontez absolument n’importe quoi sur la vaccination et ses effets. Elle n’a strictement aucune efficacité.
... Pour mieux comprendre la relation entre les courbes d’évolution temporelle des pics de PM 2,5et la mortalité due au COVID-19, il est proposé de considérer l’exposition historique de la population aux pics de pollution plutôt que des mesures instantanées dans 16 villes européennes représentatives. Ceci a été réalisé en appliquant une procédure d’intégration d’environ 2 mois sur les données PM 2,5et un décalage positif d’environ 1 semaine des données de mortalité COVID-19 afin de mieux corréler les pics et leurs gradients. L’augmentation correspondante de la mortalité due au COVID-19 et des niveaux de PM 2,5était linéaire tant pour les périodes croissantes que décroissantes.
De tels résultats sur l’effet des particules sur la mortalité due à une pandémie respiratoire devraient être pris en compte par les autorités politiques, en particulier dans les régions où des pics de pollution élevés se produisent fréquemment en raison de conditions météorologiques spécifiques et de contraintes géographiques. Pour mieux gérer les futures pandémies, les autorités devraient réduire toutes les activités industrielles, de transport et agricoles polluantes pendant les jours les plus critiques des conditions anticycloniques (hivernales) afin de limiter l’exposition de la population aux particules fines.