@pemile
C’est tout l’inverse pemile. Le fait d’attribuer le SIDA à un « virus » a fait que les gens se sont écartés, par crainte, des personnes déclarées atteintes du SIDA.
Les homosexuels ont été ostracisés. Par exemple, il leur était interdit de donner leur sang (sauf à ne pas avoir eu de relation sexuelle depuis plus d’une année).
Votre vision du « mépris » est minable. Je suis surtout scandalisé que la théorie virale du SIDA ait entrainé ce genre de comportement discriminatoire. C’est « tellement » facile d’attribuer les causes de maladies à des « virus ». Surtout que cela rapporte gros à certaines industries. La réalité biologique est tout autre pemile. Mais, votre rôle, ici, étant de supporter à tout pris la « parole officielle », votre indignation sur-jouée est totalement compréhensible.
La maladie appelée « SIDA » est, malheureusement, une maladie bien réelle. Pourtant elle n’est en rien attribuable à un « virus ». Bien d’autres facteurs émergent pour expliquer cette maladie comme la malnutrition, le manque d’hygiène, la consommation, volontaire ou pas, de molécules dangereuses comme les nitrites d’alkyles. Surtout que ce sont des « tests » qui déterminent la « séroposivité », même sans symptômes. Comme lors du « Covid19 ».
... « Le poppers est le nom usuel donné aux nitrites d’alkyles. Ils sont utilisés pour intensifier l’expérience sexuelle ou pour les courtes euphories qu’ils provoquent juste après l’inhalation du produit. Malgré les différentes périodes d’interdiction, le poppers est resté banalisé au cours des années 2000 et son usage a même connu une hausse importante entre 2000 et 2010. En population adulte comme adolescente, il s’agit du deuxième produit consommé après le cannabis parmi les drogues illicites, confirmant qu’il concerne des milieux bien plus larges que les milieux gays et lesbiens qui sont parfois présentés comme emblématiques de leur consommation. L’expérimentation du poppers concerne 5,3 % des 18-64 ans en 2010, en particulier les hommes (7,2 % contre 3,4 % pour les femmes). À la fin de l’adolescence, elle concerne 8,8 % des filles et 9,2 % des garçons. Les poppers bénéficient dans la population générale, en particulier celle des jeunes, d’une image globalement positive. Pourtant, ce produit n’est pas dénué de danger, même si le risque de dépendance est particulièrement faible. Quelques pistes d’actions peuvent être esquissées, un travail d’information et de suivi régulier auprès des usagers pouvant permettre d’éviter une radicalisation de la consommation parmi les usagers réguliers »...
... « Cette étude a révélé que les nitrites inhalés étaient la substance récréative la plus couramment utilisée parmi les HARSAH (hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes) et que l’utilisation de nitrites inhalés était associée à une probabilité plus élevée d’infection par le VIH et la syphilis. Par conséquent, une attention et des conseils accrus devraient être accordés aux HARSAH utilisant des nitrites inhalés. »...
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7650275/
... « En Afrique orientale et australe, le VIH/SIDA touche trop de personnes pour que les systèmes de santé fragiles des pays affectés puissent toutes les traiter, il déstabilise trop d’enfants pour que nos systèmes éducatifs puissent tous les aider à se structurer, il crée trop d’orphelins pour que leurs communautés puissent tous les prendre en charge, il plonge les familles dans la désolation et met en péril les systèmes alimentaires. De plus en plus, l’épidémie de VIH/SIDA est favorisée par des acteurs qui sont aussi à l’origine de la malnutrition et elle les aggrave − il s’agit en particulier de la pauvreté, des situation d’urgence et des inégalités. »
https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/EB116/B116_12-fr.pdf
C’est bien pratique d’accuser un « virus » pemile !