@berry
Bonjour,
Je suis bien d’accord avec le sentiment que donnent les effets de ce que l’on appelle le Deep state : on a l’impression qu’il y a des gens qui décident pour ceux élus, et qui, au final mettent en oeuvre ce que eux veulent.
Cependant, il n’y a pas de structure de type étatique du type : chef, sous-chefs, départements santé, défense, etc etc en parallèle à la structure officielle.
En fait les éléments constitutifs du Deep State sont des éléments présents dans l’Etat officiel, que ce soit le Gouvernement, les Assemblées, les Administrations, les lobbies, les Médias, etc etc. Parfois leur concentration est telle dans un endroit, qu’ils sont un pouvoir d’influence ’’indépendant’’ réel. Par exemple la CIA : qui aurait l’imprudence de s’y attaquer ? Par exemple l’ AIPAC : même chose.
En France aussi, nous ne sommes pas en reste, et on peut détecter leur influence. Par exemple durant l’histoire du ’’antisionisme = antisémitisme’’, nos Politiques (y compris aux sommets) se soumettent ’’volontiers’’ aux lobbies transnationaux. Même chose pour le BDS qui (la plupart du temps) n’est pas illégal par rapport à notre Droit. Mais même notre Président avait plié le genou en disant que le BDS ce n’était pas bien. Pourtant la Justice continue à dire que cela fait partie des choses normalement non punissables.
Ce que je veux dire, c’est que les gens qui font avancer l’Etat Profond peuvent être des élus (qui se prostituent parrapport à leurs électeurs) ou des lobbies nationaux ou qui se laissent embobiner pardes idées ou des positions qui ’’viennent d’ailleurs dans le monde’’, ou des gens qui agissent dans les rouages de la société.
Les gens transportent et communiquent des croyances-idées-idéologies qui infiltrent-infusent là où ils se trouvent. Qui forment des ilot où certaines ’’évidences’’ s’expriment et se mettent en oeuvre.
C’est un peu comme les ’’collabos’’ durant la guerre : on arrive parfois à les identifier, mais souvent ils agissent dans l’ombre.
Mais vous avez raison : tout cela se discute.