@Francis, agnotologue
relisez vous, vous écrivez une chose et son contraire, puisque écrivant que le principe de causalité est comme avoir qu’un marteau et voir tous les problèmes en termes de clous, vous écrivez à la phrase suivante, « toute la question est de connaitre les causes et d’identifier correctement les effets »
Autrement dit, vous voulez me contredire, pour finir par affirmer la même chose que moi, car qu’est ce donc que de connaître les causes et d’identifier correctement les effets si ce n’est de décrire le principe de causalité et où donc il s’agit effectivement d’identifier correctement la relation causale.
Moi je vous dis que la cause est la prédation humaine et dont l’effet ou plutôt le moyen pour exercer le plus efficacement cette prédation passe par la division du monde en nations souveraines qui rend impossible la paix entre les peuples, puisque cela n’a jamais fonctionné à l’intérieur de chaque nations composés de plusieurs peuples tant que ces mêmes peuples réclamaient la souveraineté les uns vis à vis des autres via leur élite prédatrice. La paix ayant été le résultat de l’unification. Malgré les faits que l’histoire nous le crache à la gueule depuis quelques millénaires sous toutes les latitudes, les humains de nature protectrices persistent à suivre les autres natures qui se nourrissent sur le fruit de leur travail. C’est à dire, fondé sur le principe du mérite personnel, qui interdit l’appropriation de celui d’autrui à son profit, sur lequel repose la prédation (c’est plus complexe, mais je ne vais pas développer ici).
Sachez que la fin ne justifie pas les moyens (sauf dans tous les cas où il y a le choix de différents moyens) mais elle les nécessites.
Cela veut dire que l’être en tant que tel, c’est à dire, doté de volonté, donc, de conscience se défini par la finalité, le but qu’il se propose d’atteindre, mais il ne peut atteindre un but quelconque uniquement que s’il dispose d’un moyen, sans cela, il ne le peut en aucune manière. Ceci est vrai que ce soit pour un Dieu tout puissant, un humain ou une fourmi. Donc, le principe de causalité est l’unique moyen dont dispose l’être pour atteindre un but quelconque, sans ce dernier, il ne le peut pas (là encore, seul le développement peut en apporter la démonstration).
Bref, si vous ne disposez pas d’un marteau et de clous, vous pourrez construire quelque chose de solide qu’en leur trouvant une alternative, qui peut être des cordes, des lianes, de la colle selon ce que vous voulez construire, mais si vous ne disposez d’aucun moyen disponible, je peux vous assurer que tout ce que vous voudrez construire n’aura de réalité que dans votre seul imaginaire.
Or, le seul outil dont dispose la nature d’être prédatrice humaine pour manipuler et dominer la nature d’être protectrice, c’est la nation car elle divise l’humanité en groupes dont on persuade que l’autre veut lui nuire et qu’il faut donc des chefs de guerres (y compris économique) pour mener la lutte. Le pire étant pour cette nature prédatrice l’unité des natures d’être protectrice fondée sur le principe de mérite personnel.
Bien sûr, je reste sur une base simpliste pour rester dans le cadre d’un commentaire.
27/04 07:50 - Jean Keim
Important à percevoir : << L’ego est en fait la pensée, les savoirs, la mémoire (...)
25/04 13:30 - Jean Keim
<< ... , il est indéniable que nous sommes dominés par nos savoirs. >> Le comprendre (...)
25/04 08:09 - Jean Keim
@Hervé Hum Des scientifiques envisagent effectivement que certains traits de notre (...)
24/04 15:55 - Hervé Hum
@Jean Keim Compliqué ! Pourtant, je suis resté aussi simpliste qu’on peut l’être (...)
23/04 14:50 - Jean Keim
@Hervé Hum << l’acquis devient un action de forme innée lorsque la pensée à trouvé (...)
22/04 10:50 - Hervé Hum
@Jean Keim bref, l’inné devient un acquis lorsque la pensée à trouvé une réponse qui (...)
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