@Jean Keim
une pensé qui est seulement récurrente, itérative et récursive ne peut pas évoluer, elle reste figée dans un seul état ou échelle. Pour évoluer, votre pensé doit obligatoirement faire appel au principe de fractalisation, car lui seul permet l’évolution de la pensé. Ainsi, c’est en passant par exemple de l’enfant vers l’adulte que vous observez le mieux vos changement de pensé.
La guerre est toujours le fait de la volonté de prédation, la violence de domination. les deux sont évidemment liés, mais la volonté de s’approprier le temps de vie d’autrui via son travail n’est pas une maladie, mais le propre de la nature d’être prédatrice. Le prédateur animal ne passe pas son temps à brouter l’herbe, il le laisse à l’herbivore et ne vient que pour prélever son impôt particulier pour se nourrir lui même.
Ainsi, la où l’animal prédateur tue sa proie pour manger son temps de vie, l’humain prédateur trouve infiniment plus efficace d’exploiter sa proie et d’en extraire un profit particulier. Mais il lui faut une justification pour cela, car il le fait essentiellement vis à vis de ses propres congénères, mais ayant une nature d’être non prédatrice de la vie d’autrui. Ici ; seul le principe de fractalisation permet de saisir ce changement d’échelle et ses effets.
Mais vous pouvez faire comme Francis et cie, dire que c’est un « pataques » ou du « blougiboula », mais cela ne change en rien la réalité des faits, qui veut que la justification de la prédation humaine repose sur la menace extérieure permanente contre laquelle les prédateurs sont naturellement les plus aptes, les « premiers de cordés ». Sauf que dans la situation actuelle il s’agit surtout de la corde du radeau de la Méduse, à couper !
De fait, il n’y a pas de meilleure formule magique que celle de « la patrie en danger » pour envoyer se faire s’entretuer des millions d’humains qui n’y ont aucun intérêt, pour le profit d’une minorité prédatrice et d’ailleurs, Macron qui se dit européen a bien tenté de l’employer, sans véritable succès pour l’instant.