@Francis, agnotologue
Allons, je me suis contenté de reprendre le terme que vous utilisez, à savoir le chaos, mais pour ma part il s’agit de l’imaginaire pur. Ce n’est pas exactement la même chose. La différence étant que l’imaginaire se rapporte à l’être, le chaos à un état de la matière, donc, au principe de causalité dont on ne peut pas définir une logique. Mais pour ma part, il y a là une aporie du raisonnement.
car fondamentalement, ce que nous montre l’Univers c’est qu’il y a l’être défini par la conscience de soi en tant qu’existant (nier cet état de fait revient à nier sa propre existence en tant qu’être doué de conscience) et la chose, l’objet et très exactement l’outil sans lequel l’être ne peut pas atteindre un but quelconque. C’est le point fondamental, le fait que cette nécessité de l’outil est valable même pour un Dieu tout puissant. Ici, j’ai donc répondu à ce que vous dites en montrant que l’être est contingent dans le sens où il peut donner sens ou non à son existence. Qu’on peut expliquer l’Univers de manière rationnelle qu’en considérant l’existence de l’être métaphysique ou Dieu. Tandis que la causalité est une nécessité de l’être dès lors où il fait le choix de donner sens à son existence, mais n’a aucun sens propre en dehors de l’être. Votre problème est donc de devoir confronter ce que j’écris à votre agnosticisme, votre intention face à laquelle vous n’entendez pas penser en mode contradiction !
Je n’écris pas que je suis le seul à connaître le principe de causalité, c’est absurde étant donné que son principe fondamental est le même pour moi comme pour vous, mais que ma connaissance est plus complète et non partiellement biaisé, en tous les cas, beaucoup moins que vous.
ceci étant dit, votre « deuxième chose » confine à l’absurde. puisque la phrase peut être posé dans les deux sens, cela veut dire qu’elle est « bonne » dans les deux sens !
Perso, j’ai toujours à coeur de répondre à mon interlocuteur sans chercher à me défiler, mais me laisse encore parfois à m’énerver lorsque mon interlocuteur ne fait pas de même. Aussi, si vous avez un point sur lequel vous considérez que j’ai faillit à vous répondre, veuillez me le signifier, je ne manquerai pas de réparer cet oubli.
Sinon, j’en resterai là.