@JPCiron
Pour le gouvernement israélien sa volonté d’établir le grand Israël n’est plus à établir et il s’en donne les moyens que n’ont pas les dirigeants du Hamas, or, ce que vous écrivez ne montre pas que ces derniers ont évolués, car ils maintiennent toujours leur volonté d’établir un Etat avec Jérusalem comme capitale et non d’accepter sa partition qui serait une évolution réelle et majeure. C’est évidemment innacceptable
pour tout gouvernement israélien, même le plus ouvert.
Soit les dirigeants du Hamas acceptent de se soumettre au droit international et ses décisions qui ne leur permet pas d’avoir Jérusalem comme capitale, mais une partie de celle-ci, soit ils ne l’acceptent pas et dans ce cas là, ils ne peuvent pas en appeler au droit, mais uniquement au rapport de force.
Cela veut dire que dans les relations internationales, le principe de la souveraineté ne peut pas prédominer, elle doit obligatoirement se soumettre au droit international, sans cela, ce dernier est caduque. Ce qui est le cas dans l’état actuel, puisque les dirigeants qui disposent de la force suffisante, s’affranchissent toujours du droit, mais l’imposent aux plus faibles et qui ne disposent pas du soutient d’une force supérieure.
La cour pénale dispose seulement d’un pouvoir honorifique, éthique, mais rien de plus.
Je ne choisi pas entre la peste et le choléra, entre les dirigeants du Hamas et d’Israël ou entre Poutine et Biden, XI Jinping, etc.
Pour moi, ce sont tous sans exception des chefs de gangs, des mafieux qui servent uniquement les intérêts de la « famille », ceux qu’on appelle les oligarques ou les membres du parti.