@Hervé Hum
< La souveraineté est toujours intérieure, lorsqu’elle se tourne vers l’extérieur, c’est toujours dans un rapport de domination et donc, la réduction de la souveraineté du dominé. Donc, vis à vis de l’extérieur pour qu’il n’y ait pas de rapport de domination, cela passe obligatoirement par le consensus et la définition de règles ou lois communes. Et ces lois pour êtres acceptées par la majorité et pas être réfutés par les autres, doivent obligatoirement reposer sur le principe d’équité ou égalité relative, c’est à dire, le principe du mérite personnel et qui interdit par définition d’exploiter, s’approprier le mérite d’autrui à son profit comme c’est la règle actuellement, mais qui trouve sa justification uniquement par le fait de la compétition ou de guerre ou menace de guerre qui nécessitent des chefs auxquels il faut se soumettre volontairement et imposer cette soumission à ceux qui la refusent. >
Sur le premier point, j’ai toujours appris au catéchisme qu’il convenait dêtre soumis à Sa volonté, qui s’exprime aussi par ceux qu’ Il a mis au pouvoir. Et de grosses fractions de la population, ici et là-bas, se comportent ainsi : souverainement soumis au dominant et exprimant un sentiment de domination sur les ennemis désignés du dominant (ennemis désignés qui sont en fait leurs semblables non encore soumis).
Il y a TOUJOURS des justifications ou le plus souvent pseudo-justifications pour faire le contraire de ce que l’on prone, et pour piétiner les Valeurs et Principes que l’on dit chérir... C’est notre monde de faux-culs