@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
les contestataires réclament tous le libéralisme : liberté, égalité, démocratie, liberté de conscience, liberté de débat, sûreté de sa personne et de sa propriété, moins d’impôts et d’administration, refus des lois étrangères, etc. Le principe du libéralisme est de rendre à chacun le fruit et la jouissance de son travail et de ses facultés, et de cesser de les soumettre à la spoliation (illégale ou légale) des factions diverses et variées...
l’oligarchie gauchiste n’est pas libérale : elle veut organiser le socialisme à son propre profit... elle appelle ça hypocritement « néo-libéralisme », « développement durable » ou « capitalisme des parties prenantes », pour éviter de dire « soviet-suprême des rupins et des influents »...
Il n’y a pas de différence de principe entre les « crédits d’impôts » et les « aides à la transition » réclamés par la droite et les « aides sociales » et le « droit au logement » réclamés par la gauche radicale. Il s’agit toujours d’aller piquer dans la poche des autres par le truchement de lois spoliatrices (parce-qu’on laisse aux « criminels » la spoliation hors-la-loi)... spoliation chic et choc à droite, spoliation suante et vociférante à gauche... mais c’est le même principe.
Ce que réclament des libéraux-conservateurs comme Frédéric Bastiat, c’est l’abolition de tout socialisme (qu’il soit bourgeois ou prolétaire), et l’application d’une loi de stricte justice basée sur le droit naturel (personne ne vole personne, et chacun s’emploie à son activité). Le rôle de la loi est d’interdire la spoliation et non de l’organiser (au profit de tel ou tel groupe ou classe). Ce qui n’interdit nullement les associations de prévoyance et les mutualités librement consenties entre sociétaires.