Le procureur de la CPI essai d’appliquer le droit, il aurait fait de la politique s’il n’avait pas condamné le premier ministre Netanyahu et son ministre de la guerre tous deux des terroristes génocidaire.

Car rien, mais absolument rien ne dit qu’un pays sous régime plus ou moins démocratique est obligatoirement un Etat non terroriste ou génocidaire vis à vis de sa politique extérieure à ses propres concitoyens.

Par exemple, les USA est un pays qui dès l’origine se dit démocratique, pour autant, il s’est construit non pas sur un, mais plusieurs génocides.

Et comme il s’agit d’une cour qui juge des crimes au niveau international, il n’y a pas de distinction entre une organisation qui gère une population et un gouvernement qui fait de même. Cette distinction est de la poudre aux yeux. Ce qui est jugé, ce sont les actes selon le droit inscrit dans la loi et c’est ce que fait ou essai de faire le procureur. Et qui ne vaut que pour les dirigeants des pays signataires.

Pour votre information, ce n’est pas les terroristes génocidaires du Hamas qui ont commencé les hostilités, mais le gouvernement terroriste et génocidaire d’Israël disons à la mort de Rabin (assassiné par un extrémiste israélien) et la preuve est toute entière dans les propres déclarations de ces mêmes dirigeants. Il suffit donc de s’en tenir aux propos des responsables, rien de plus, rien de moins.

Cela dit, la notion même de « crime de guerre » n’a aucun sens réel, seulement dans l’imaginaire collectif. Tout simplement parce que toute guerre est en soi un crime ou plutôt la somme de crimes, d’assassinats. Dans une guerre, il ne peut pas exister de droit, c’est totalement absurde dans la mesure où le propre de la guerre est de savoir qui définit la loi, car la loi est toujours celle du plus fort ou plutôt de celui qui dispose de la plus grande force.

Autrement dit, pour que la notion de crime de guerre existe réellement, il faudrait que la guerre soit interdite et que la force supérieure soit de ce coté. Ce qui n’est pas le cas.

De la même manière, la notion de « crime contre l’humanité » est toute aussi absurde dans la mesure où il s’agit là du propre de l’humanité. Là encore, cette notion peut exister que si l’humanité renonce non pas à la guerre, mais à la souveraineté nationale comme cadre ultime et voit donc la majorité des citoyens de cette planète imposer à leurs propres dirigeants de se soumettre à la loi commune. Ce qui n’est pas le cas et même semble prendre le chemin inverse, ce qui est le but non avouable des dirigeants des USA pour le moins. Notre président semblant être le nigaud de service !

Et une dernière pour votre culture, la population n’est jamais un dommage collatéral en temps de guerre, pour la simple raison que c’est toujours la cible principale de toute guerre. Et une cible principale ne peut pas être un dommage collatéral à elle même !

La population est un dommage collatéral lorsque le but de la guerre ne consiste pas à prendre le contrôle de la population, donc, de la préserver plus ou moins, mais à son éradication comme c’est le cas actuellement avec les palestiniens de Gaza.

Bref, la réalité est en quasi totale contradiction avec ces notions sorties de l’imaginaire de manipulateurs pervers à l’usage de braves gens.