@Fergus (message 09:24)
Il est évident que tous les Ukrainiens de l’Ouest ne sont pas nazis, et Zélensky non plus à titre personnel, le problème est que les dirigeants nationalistes ukrainiens ont réhabilité des organisations et leaders ayant collaboré.
Il est vrai par ailleurs qu’il y a des milices néonazies en Russie, mais ce n’est absolument pas la doctrine du régime que de réhabiliter la collaboration, mais au contraire la guerre de libération.
J’ai regardé hier une émission sur Arte concernant l’industrie de guerre en Union Soviétique après le début de l’invasion allemande, et comment ils ont pris peu à peu la suprématie en armement alors qu’ils crevaient de faim, sur un élan populaire avant même la reprise en main stalinienne, c’est juste époustouflant.
Parmi les héros méconnus, les travailleurs du rail qui, talonnés par le rush des troupes nazies, ont mis les usines dans des wagons pour les réimplanter à l’Est du pays.
Je ne suis pas poutinolâtre, mais un tel pays ne sera pas vaincu dans sa périphérie. Alors il faut devancer le risque d’effondrement ukrainien en convenant d’une suspension d’armes sur la ligne de front ...avant qu’elle ne se décale encore vers l’Ouest.
Et il n’y a rien à voir avec l’Hitlerisme qui voulait conquérir entre l’Atlantique et l’Oural (enfin, sa carte n’allait pas aussi loin, il pensait, comme Napoléon, qu’il n’y avait qu’un désert à l’Est de Moscou).