@Eric F
Vous définissez la vie par l’encéphalogramme, l’activité du cerveau au début et à la fin, C’est une définition mais pas une preuve. Après tout, vous n’avez pas d’autres outil pour cela. Mais du coup, vous balayez du revers de la main tout ce que vous ne pouvez pas comprendre et vous n’avez pas plus de preuves. Ne pas pouvoir tout expliquer est tout de même bien humain. Quand je parle de Dieu, je parle de phénomènes que je n’explique pas mais que j’observe. Le fait même qu’il est possible de les observer devrait nous conduire à la prudence sur l’interprétation. Le fait par exemple de recevoir une guérison instantané dans un contexte de prière est un sujet qui devrait susciter un étonnement. J’ai vu, par exemple, la guérison instantanée et annoncée d’un cancer du foie avec métastases et sans récidives. Idem pour une tumeur au cerveau. Les médecins, constatant le phénomène, n’arrivent pas à croire leurs propres analyses et demandent la poursuite d’un traitement lourd devenu inutile. Ne me demandez pas comment cela s’est passé, je n’en sais pas plus que le médecin, mais j’ai une idée sur les raisons de la guérison.
Le fait de recevoir une information sur notre futur que nous ne comprenons que lorsque ce qui a été annoncé se produit (cela m’est arrivé deux fois) est aussi étonnant. L’humain n’a pas accès à son futur et je peux certifier que je n’ai rien pu faire pour que cela se produise. Je n’en ai même jamais parlé avant des années pour être certain de ce qui s’est passé. Au début, je suis toujours sceptique comme vous, mais je ne ferme pas l’interprétation de ces signes à une préconception du monde. C’est la cohérence des signes qui forme la réponse.
Vous êtes donc dans une forme de croyance qui vous rassure face à l’angoisse de la mort. Vous avez l’impression d’être dans le groupe du bien qui « sait » et les autres sont des faibles d’esprit. C’est en utilisant ces mécanismes que fonctionnent les idéologies.