La messe est dite depuis un bon moment ; concernant le rôle et les objectifs réels des grands médias. Ce sont les porte-parole du narratif officiel, ceux de la grande industrie et ils sont les chiens de garde du système. Quand on voit l’obstination à ne pas investiguer l’origine de la guerre en Ukraine, celle du Covid-19 ou de l’explosion du Nordstream II, sans parler des commandes disproportionnées de « vaccins’ anti Covid-19, faites à big pharma après les négociations d’ Ursula Von der Machin par SMS (la procédure habituelle selon elle) malheureusement effacées (on l’a comprend…), un schéma d’ensemble apparaît clairement.
Ritter lui-même était idéalement placé pour mettre à mort l’accusation de possession d’AMD par l’Irak (vu qu’il faisait partie de la commission d’enquête sur place) et les services de renseignement et le pouvoir central ont interdit à la grande presse de publier le résultat de ses recherches, pour ne pas autoriser une pensée dissonante risquant d’éviter le massacre des irakiens.
Il faut savoir que tous les journalistes sont dans le collimateur dès lors qu’ils recherchent ou veulent révéler les agissements troubles ou illégaux des pouvoirs financiers, industriels, de renseignements ou politiques.
Pour l’Occident moderne, le véritable journalisme est une forme de terrorisme, tant l’exposé de la vérité et de la réalité peut être révolutionnaire dans la prise de conscience des masses du monde dans lequel nous glissons.
La liste des journalistes »flingués" professionnellement pour avoir gêné les puissants de ce monde est déjà bien longue et Assange n’est qu’un nom (certes emblématique) mais parmi bien d’autres.