@alinea
L’esclavage est toujours d’actualité sous des formes bien plus subtiles que dans le passé. La planète entière verse ainsi une rente permanente aux plus riches à tous les niveaux. Aussi longtemps que la création monétaire est le privilège d’entreprises privées et que le taux d’intérêt existe la pompe à fric alimente effectivement les plus riches. Si les projets de « monnaie mondiale de réserve » se concrétise, aucun pays n’en tirera un moyen de pression sur les autres, cela devrait pouvoir se faire. L’Afrique a du boulot si elle veut sortir de son asservissement car le FMI et la Banque Mondiale comme l’OMC ne vont rien lâcher spontanément. Ce sont les outils de pillage, bien plus efficaces d’ailleurs que le franc CFA. Par ailleurs ses « élites » sont formatées en Occident donc qui mettra en œuvre les moyens de réduire cet esclavage ? Il faudra du temps et à ce moment l’Afrique comptera entre un et 1,5 milliards d’habitants.
Même si une fraction infime migre vers l’U.E nous serons un pays « africain » à la fin du siècle et l’U.E une colonie du continent africain.
J’ai tendance à penser que pour se libérer de la strangulation qu’on lui impose, l’Afrique devra nous coloniser et on n’arrête pas les flux humains avec des missiles. C’est bien plus dur, surtout quand nos dirigeants ont un intérêt à favoriser l’immigration pour continuer à jouer à la grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf et qui a besoin de petites mains pour créer les richesses.
L’épisode Covid a montré qu’ils sont sur le chemin de nous priver de notre droit à gérer notre propre santé. Ils ont violé copieusement le protocole de Nuremberg en mettant inutilement des vies en danger et comme nous ne sommes pas en démocratie, une minorité consciente de ses intérêts avec les leviers du pouvoir et la force publique peut tout faire et nous pas grand chose.
Je comprends le besoin de s’accrocher à quelque chose de solide, un Dieu, un grand amour, une morale, une éthique, une philosophie, quelque chose, n’importe quoi. C’est humain. Je préfère me souvenir d’Epictète (Ce qui dépend de nous) et ne pas trop attendre de mes actes.
Je vois beaucoup de cynisme menant à l’inaction et au divertissement autour de moi. Je suis probablement cynique aussi, mais je combattrais les mirages (mais non pas les « Moulins à vents ») aussi longtemps que je vivrai sans doute.