@LATOUILLE

Bonjour, c’est dommage votre article était bien parti, l’emploi du mot démocratie est beaucoup trop fréquent dans votre texte, comme vous l’avez écrit

« Le mot démocratie n’appartiendrait-il pas au cercle édifiant des « mots vertueux » et « qui pour les autres sont des mots au sens abscons qui ne réfèrent à rien de précis ».

Ce mot employé à tort et à travers lui a fait perdre tout son sens, nul doute que le système gouvernemental de notre Pays est « démocratique » les élus en place le sont par l’expression de la voix des votants. 

Il n’y a absolument pas de doute à avoir, une véritable « démocratie » au sens étymologique si elle eut été réelle et fonctionnelle, ne le peux plus à notre ère, non seulement par le nombre de citoyen, mais aussi par les nombreuses et différentes catégories qui compose le peuple. De surcroit l’intérêt individuel à très largement supplanté l’intérêt collectif. Cela serait donc ingouvernable. 

Il en est de même pour le mot « Républicain », désormais obligatoirement affublé d’adjectifs (l’arc, le front, etc..) tellement il est « usé » de même pour sa signification. A part quelques groupuscules la majorité des partis en place sont tous républicain, n’en doutons pas. Personne ne souhaite remettre en cause l’affaire « Républicaine ». 

Après, chacun va y voir un mode de fonctionnement propre, oubliant parfois l’intérêt réel du Pays au profit de sa durabilité personnelle dans le temps.

Et c’est là, que nous atteignons les limites du régime des partis, qui commence à ne plus avoir de sens, nous le voyons par leur changement noms pour se démarquer et susciter de l’intérêt chez les « votants ». C’est un peu aussi je crois une des causes du désintérêt des Français pour la « politique ».

Une sorte de petit monde d’entre-soi, soyons franc, caressant le cul des votants en étant vulgaire pour obtenir leur faveur cyclique, les oubliant après, pour s’occuper de leur « Affaires ». De surcroit majoritairement le statut « d’élu » de la Nation à une très forte tendance à dopé l’ego.

Ce qui se passe actuellement, devrait normalement susciter une prise de conscience chez les votants, mais je ne suis pas sûr que cela soit analysé avec circonspection et impartialité. Depuis dix jours, nous assistons à des propos, des attitudes surréalistes de la part des « Politiques », pas tous car ce qui est qualifié comme les deux extrêmes eux ne varient pas, dont acte le N.F.P s’est fait élire, mais ne s’entend plus désormais.

Le Français à besoin d’un cap clair, audible et compréhensible, des idées nouvelles correspondant à leur attente qu’ils viennent d’exprimer par trois fois dans les urnes ! Dit le « Politique »

Et c’est quoi votre cap clair ? demande le journaliste avide de savoir.

La réponse est pure rhétorique, sans aucune clarté, car « ils » ne savent être clair, clairvoyant aussi, n’ont aucune vision de l’intérêt du Pays et de sa population, comment le pourrait il d’ailleurs, sachant qu’au maximum cinq ans après « ils » risquent de ne plus être aux commandes et que le prochain peut tout changer.

Ont ne dirige pas un Pays avec une vision quinquennale, c’est tout simplement impensable, absurde même.

Nombre d’entre eux se réfère jalousement au « Général », n’hésitant se prétende digne héritier du grand homme. « Ils » le jalouse farouchement, l’adhésion populaire remportée par l’homme était qu’après la guerre, il a donné un sens à l’avenir du Pays, aux Français, même s’il a fait quelques erreurs parfois. C’est loin, mais très loin d’être leur cas, si l’on analyse bien. Certes quelques progrès ont vus le jours, étaient ils tous utiles à l’ensemble ou à certains ?

Tout comme « démocratie » et « République », le mot « Politique » devient abscons.

Il ne faut pas attendre de changement avec ce qui est en place, car elle est bonne n’en doutons pas un instant.