@olivier cabanel
Vous plaisantez n’est-ce pas ?
Lisez les compétences « exclusives » et le fonctionnement des « compétences partagées », et vous comprendrez. Vous ne l’avez visiblement pas fait. Vous vivez dans une image d’Epinal de la France.
Votre esprit est resté figé dans la période qui a précédé le traité de Lisbonne.
Par exemple : la réforme des retraites. Oui c’est possible, mais les contraintes économiques sur la France, de la part de l’UE, seront terribles. Contrairement à ce que vous écrivez la France n’est pas « libre » de ses choix « économiques ». Mais vous pouvez le faire croire aux lecteurs. C’est simplement désolant parce que ceci nous entraine à la ruine.
Pour bien enfoncer le clou : « Ce mardi, 16 juillet 2024, les ministres des Finances de l’Union européenne vont valider la procédure de déficit excessif dans laquelle la Commission européenne a placé la France. Si Paris ne change pas sa trajectoire financière, les nouvelles règles de stabilité budgétaire prévoient des amendes importantes. »
... « Depuis 2020, la France a bénéficié de la suspension des règles de stabilité budgétaire au sein de l’Union européenne, décidée par les 27 pour financer la gestion de la crise Covid et le soutien à l’Ukraine. Mais ces règles reviennent en vigueur cette année après avoir été reformées fin 2023. « Sous procédure de déficit excessif, la France va devoir présenter à la Commission européenne, un plan budgétaire structurel qui est une loi de programmation pour les 4 prochaines années dans laquelle elle s’engage à diminuer son déficit de 0,5% de PIB chaque année » »...