Chers lecteurs,
Nous ne nous y sommes pas trompés. La cérémonie d’ouverture offerte hier au public a consacré le triomphe du wokisme, la négation de la culture française et l’entre-soi progressiste parisien.
Il est plus que jamais nécessaire que les mécontents fassent entendre leur voix, à l’heure où les élites se gargarisent d’une cérémonie qu’ils veulent « la plus réussie de l’histoire de l’olympisme ».
Face à cette propagande, il est nécessaire que nous, dissidents, construisions un contre-récit afin de contrer le narratif dominant et de mettre en lumière la propagande idéologique (voire ésotérique), les couacs logistiques et la gabegie financière de ces Jeux. En effet, l’information et l’histoire sont capitales et l’Etat n’hésite pas à user d’une propagande éhontée pour faire disparaître toutes les ombres au tableau. Il est de notre responsabilité de ne pas les laisser faire.
En leurs temps, les Jeux de Berlin de 1936 étaient aussi vus par la presse internationale comme « les plus réussis », mais désormais du fait du travail idéologique des historiens on les appelle « les jeux de la honte ». Il devra en être de même des jeux de l’élite parisienne. L’histoire devra retenir les restrictions des libertés, l’exploitation des travailleurs, les dépenses faramineuses, voire d’éventuels détournements de fonds sur lesquels plusieurs médias sont actuellement en train d’enquêter. Il est en effet capital que ces spectacles de la négation du peuple ne restent pas dans l’histoire comme l’heure de gloire de la Macronie et de la bourgeoisie parisienne.