@Fergus
On peut être, à juste titre, russophile et,
à non moins juste titre, poutinophobe !!!
Position fausse, idiote, faux-cul, mainstream, dangereuse …
Non, on ne peut pas être russophile et poutinophobe, les Russes
étant à 80% poutinophiles.
Les poutinophobes s’opposent frontalement à l’immense
majorité des Russes et méritent le qualificatif de russophobes.
Pour vous faire plaisir, vu que vous êtes un parangon de la
pensée correcte et unique, je dirais qu’en 36, on ne pouvait pas être
germanophile et antinazi, vu que l’immense majorité des Allemands voulaient la
revanche sur 14-18. Nier le réel ne sert qu’à se faire plaisir.
Bine sûr, on peut se faire plaisir en affichant une germanophilie
et une russophilie d’élite culturelle, considérant que Beethoven et Moussorgski
n’ont rien à voir avec Hitler et Poutine. En fait, ils ont beaucoup à voir, ce
sont les faces géniales et sombres d’un même peuple.
La russophobie atteint aujourd’hui des sommets inégalés en France, un
vrai festival. C’est ce qui me fait craindre un glissement progressif vers la
guerre mondiale. C’est toujours comme ça que ça évolue, en faisant monter la
haine de l’ennemi, avec des postures faux-cul comme la vôtre et celle de
Rosemar (qui va jusqu’à se réjouir de bombardements de civils « juste
retour des choses ». On n’y est pas encore (à la guerre) mais on s’en rapproche avec
vous, Rosemar, et tout notre mainstream).