@Olivier Cabanel

Bonjour,

Article intéressant,

"l’humain est-il menacé de domestication  ?"

Grande question, l’espèce humaine en fait s’auto-domestique entre elle et j’ose dire presque depuis toujours, tentant aussi de domestiquer la planète, là c’est un problème.

Ceci à retenu plus particulièrement mon attention.

"si l’on ramène la Terre à l’âge de 46 ans, alors qu’elle est en à 4,6 milliards, nous sommes sur Terre depuis 4 heures, notre révolution a commencé il y a 1 minute, et dans cet intervalle nous avons détruit plus de 50 % des forêts de la planète"

Dans le cycle de vie de planète depuis sa création, notons au passage que « nous » enfin les « spécialistes » ne sont pas vraiment sûr d’avoir tout analysé et compris de cette dernière, théorisant beaucoup de choses à mon sens et ce qui n’est pas compris comme le « chaînon manquant » passe dans les oubliettes.

Bref, d’après eux et le résultat de leurs travaux, la planète vit, se transforme voire se régénère seule. L’espèce humaine dans sa grande évolution à de plus en plus de mal à saisir ce concept, qu’en fait il n’est rien, il « profite » c’est tout.

Attablé devant un gigantesque repas, il dévore tout ! Tous les mets consommés, ne pouvant être remplacés, il meurt de faim ensuite...

Bref, l’espèce humaine, est à mon sens la pire espèce animale qui soit apparue sur terre. Depuis toujours les espèces animales tentent de vivre en harmonie mais luttent aussi pour survivre. Notons qu’après la « grande extinction » provoquée par une ou des influences extérieures, l’affaire repart, car toutes les espèces n’ont pas disparues.

Débute alors « l’évolution » tout se passe bien, quant apparaît une nouvelle espèce, peu nombreuse au début, mais très prolifique, se dispersant partout, en plus espèce douée d’une grande intelligence nous dit-on ! Le petit souci, c’est que l’espèce humaine du haut de sa grandeur et de son « intelligence » à une forte proportion à s’affilier aux survivants, dans un déni complet de sa fragilité.

Ce qui était quand même fantastique et qui a fait l’harmonie entre les espèces présentes c’est une sorte de « régulation » naturelle par la prédation.

Hors l’espèce humaine, summum de la vie animale sur terre, car douée d’intelligence de la parole et de raison s’est quand même très rapidement depuis son apparition propulsée en haut de la chaine de prédation.

Si la prédation naturelle entre espèces, permet de garantir une osmose intéressante, force est de constater que la prédation humaine n’entre pas dans ce domaine. Elle s’apparente plus à une prédation inconséquente et du pillage.

Apparemment d’après les « scientifiques » il y eu un temps, ou une espèce prédatrice à tout « mangé », incapable de se déplacer autre part que sur la zone où elle se trouvait, elle s’est tout bonnement éteinte.

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La domestication de l’espèce humaine ?

Diable ! Sincèrement au vu de ses impacts sur la planète, le sujet me paraît très secondaire. Toutefois comme je l’ai écrit elle s’auto-domestique depuis longtemps. Cela ne fonctionnant qu’un temps aussi, puisque la partie « domestiquée » finie par se rebeller, généralement dans le sang et quelques décennies plus tard, l’affaire revient au galop, c’est « l’évolution » !!!!!

C’est comme ça, il doit y avoir dans l’espèce humaine un gène étrange non découvert ? Il est vrai qu’en matière de « domestication » nous allons franchir un pas énorme, ce qui normalement se devrait être un progrès sera notre fouet.

La rébellion sera beaucoup plus difficile, sera-t-elle possible même, tellement l’autorité « domesticatrice » sera prédictive ?

Comme les cochons de votre texte, l’AI finira par nous domestiquer, ainsi que ceux qui l’ont conçu, n’en doutons pas. Assisterons-nous à une réduction de notre encéphale ? A mon avis elle est déjà en cours très insidieusement, peut-être pas encore physique, mais capacitive certainement.

Il est amusant et dramatique aussi, de constater que de bons ouvrages qualifiés hier d’anticipation ne le sont plus ou de moins en moins. C’est quand même fantastique, certains dans l’espèce humaine savent, ou se doute, alertent aussi, mais rien n’y fait, nous plongeons béatement dans le néant.

Je pense que votre vieil ami Africain doit avoir un proverbe à ce sujet.