@pemile
Vous avez votre opinion sur les « virus », qui n’existent « qu’in silico », et j’ai la mienne. Le problème, pour vous, c’est que vous n’avez aucun élément scientifique qui puisse affirmer que le VIH est la cause du SIDA.
Kary Mullis, prix Nobel et inventeur du test PCR, n’a jamais pu trouver une seule étude qui fasse le lien entre VIH et SIDA. Alors pemile, de votre côté vous pouvez y croire. C’est votre droit le plus absolu. Si vous avez lu une étude qui fait le lien entre VIH et SIDA, donnez nous ses références. C’est compliqué ?
Moi je crois Kary Mullis.
Lorsque l’on en arrive à formuler une phrase comme celle-ci, c’est qu’il y a du chemin à faire pour vous (copié-collé) : ...« Quant à envoyer une invitation au sidaction pour qu’ils viennent sur AVox lire que le VIH n’existe pas et prendre rdv sans anonymat avec le docteur @Legestr Glaz, préviens moi quand tu serras prêt ? »...
Vous parlez de quoi exactement ? Soyez clair et précis, ne fuyez pas.
PS : le « sidaction » est machine a recueillir des millions d’euros chaque année. C’est une affaire qui roule. Pendant ce temps en Afrique des populations vivent la famine et le manque d’hygiène. Mais puisque « l’on » vous dit que c’est le virus, ma bonne dame, il faut développer la recherche « virale » et lui consacrer des millions et des millions d’euros chaque année, rien qu’en France.
... « Vingt années de croyance en un virus dormant, ne provoquant la maladie qu’après de longues périodes d’incubation, ajoutées aux années consacrées à la chasse aux rétrovirus animaux, ont rendu la plupart des biologistes complètement incapables de mettre en question l’annonce faite par Gallo en 1984 au sujet d’un virus du SIDA. Des distinctions honorifiques prestigieuses et de nouvelles subventions étaient réservées aux scientifiques qui parvenaient à appliquer leurs modèles animaux ou leurs concepts de « virus lents » à la maladie humaine. Les chercheurs se sentaient aussi incapables de quitter l’étroitesse de leur champ de spécialisation pour soulever des questions dans d’autres domaines : les épidémiologistes supposaient que les cliniciens décrivaient correctement leurs cas ; les virologues se fiaient aux statistiques que dressaient les épidémiologistes ; les immunologistes plaçaient leur confiance dans les expériences effectuées en laboratoire par les virologues ; et les experts de la modélisation sur ordinateurs étaient obligés de croire à ce qu’eux tous leur disaient. Toute intrusion dans le domaine d’un autre scientifique entraînait rejet et humiliation de la part de ses pairs.
Dans cette atmosphère de pression, on en arriva aisément à négliger les leçons élémentaires datant de la chasse aux bactéries. Pratiquement plus personne ne pensa à analyser le VIH conformément aux postulats de Koch. Ces critères ayant subi l’épreuve du temps s’appliquaient encore plus parfaitement aux virus, qui sont des parasites non vivants, qu’aux bactéries qui peuvent, de temps à autre, émettre des toxines ou s’adapter à des modifications d’environnement. Les montagnes de données qui s’accumulaient au sujet du VIH furent, au lieu de cela, interprétées dans la seule perspective d’intégration à l’hypothèse consensuelle virus-SIDA, et les chercheurs en arrivèrent à oublier les rudiments mêmes de la virologie, attribuant des propriétés de plus en plus bizarres à ce virus. Pourtant les postulats de Koch entraient réellement dans le coeur du sujet, disculpant le VIH et montrant le caractère tout à fait absurde d’une grande partie de la recherche sur le SIDA. »....