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Commentaire de Legestr glaz

sur La France criminelle ?


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Legestr glaz Legestr glaz 5 septembre 2024 08:16

@Astrolabe

Pas virologue, c’est nul, mais plutôt biologiste, c’est mieux. 

Mais pendant que l’on s’intéresse aux « virus in silico » on masque la réalité observable. Les virus « in silico » sont un moyen génial de faire prendre des vessies pour des lanternes. 
Lorsque l’on s’intéresse à la biologie, en lien avec la santé, on mesure que le discours dominant sur les virus in silico est un parfait mensonge. Mensonge qui permet de se dédouaner dans d’autres domaines comme celui de la pollution, de l’hygiène ou de la malnutrition. 

Et les « petits malins » qui font « comme si » la pollution atmosphérique n’était pas à l’origine de graves maladies respiratoires en faisant porter le chapeau à des « virus in silico », mesurent bien tout l’intérêt à mentir. 

Lorsqu’en automne-hiver, ou en été par forte chaleur, la pollution atmosphérique est considérablement augmentée, il y a une augmentation « simultanée » de maladies respiratoires. Les « pics de mortalité » de maladies respiratoires sont absolument corrélés aux pics de pollution. Les « virologues » sont aveugles et sourds, probablement. Les virus in silico ont le dos large, très très large. Ce sont les personnes au système immunitaire « diminué » qui paient le plus large tribu à ces maladies. Et ces personnes sont parfaitement bien identifiées, ce sont elles qui se retrouvent dans les services d’urgence des hôpitaux après un épisode de pollution atmosphérique. Chacun peut le constater en consultant n’importe quel site qui fournit des indications sur la pollution atmosphérique. En automne-hiver, les périodes anticycloniques, avec absence de pluie et de vent, et des températures basses au sol, forment les conditions « idéales » pour les infections respiratoires. Et c’est bien ce qui se passe ! 
La grande histoire des virus in silico venus de Chine est une belle blague. Les virus in silico apparaissent au moment d’une pollution augmentée et repartent après l’épisode polluant. Pas de transmission, pas de contamination : un air pollué que chacun va respirer et les organismes fragilisés paieront les pots cassés. Et les cabinets de médecins font alors le plein, comme les hôpitaux dans « certaines régions », et tout le monde va répéter sur le même ton : c’est viral ! J’ai chopé la grippe, j’ai chopé le covid ! Ces personnes sont simplement malades de la pollution atmosphérique. Mais un « bon test PCR » vient vous dire que le coupable c’est le « virus in silico » mais nullement la pollution et les circonstances environnementales communes à chacun. 

... Il est prouvé que la pollution atmosphérique est à l’origine de maladies et de décès prématurés. Le principal risque provient des charges trop élevées en poussières fines et en ozone.

Chaque fois que nous inspirons, des gaz tels que le dioxyde d’azote et l’ozone ainsi qu’une grande quantité de particules fines pénètrent dans nos voies respiratoires et nos poumons. Ces particules se déposent dans les bronches et les alvéoles pulmonaires, où elles peuvent avoir des effets nocifs sur la santé à plus ou moins long terme.

Plus les particules sont petites, plus elles pénètrent profondément dans les poumons. Une exposition excessive à des polluants entraîne une augmentation des troubles et des maladies respiratoires chez les enfants et les adultes, notamment des crises de dyspnée, de la toux et des expectorations chroniques, des bronchites, chroniques ou non, ainsi que des infections des voies respiratoires.

Chez les personnes déjà malades, la pollution atmosphérique constitue une charge supplémentaire : plus l’air est pollué, plus les phases de rémission sont brèves. La pollution de l’air inhalé diminue la capacité respiratoire moyenne. Elle est la cause de l’augmentation des consultations en urgence et des hospitalisations pour affection des voies respiratoires.

En outre, la pollution atmosphérique diminue l’espérance de vie : on observe en effet une progression du nombre de décès par jour et de la mortalité en général par affections cardiovasculaires et respiratoires y compris du cancer du poumon.


Les dioxydes d’azote, les HAP  hydrocarbures aromatiques polycycliques-, le dioxyde de souffre ou encore les matières particulaires (particules fines), sont « autrement » plus dangereuses pour la santé que les virus in silico. Mais il faut craindre les virus in silico n’est-ce pas ! 


https://www.airparif.fr/le-dioxyde-dazote

https://preprod.airparif.fr/hap

https://www.airparif.fr/les-particules-fines


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