@Gérard Luçon
Bonjour,
Soyons raisonnable, n’importe qui pourrait se présenter pour se faire élire Président, nous constatons aujourd’hui, que malgré cette condition préalable ce que cela peut donner. Nous avons bien eu un candidat des « Chiens battus » en 1965, je ne conteste pas la noblesse de sa cause, mais il s’agit de diriger un Pays et ses 67 millions d’habitants.
Ce « cap » des 500 signatures, ne me paraît pas idiot, à charge de celui qui veut diriger le Pays de convaincre déjà des élus locaux, du bien-fondé de son programme et des bienfaits de ce dernier pour la Nation.
Après reste aussi le vivier des 6000 personnes du petit monde d’entre-soi politique en place, ce qui est un non-sens selon moi. La « proximité populaire » de ces derniers étant fausse, malgré que dans leur agenda, ont leur rappelle qu’ils/qu’elles doivent se montrer de temps en temps avec le « peuple » avec la complaisance des médias.
L’élu local est le premier maillon représentatif du peuple, il est normalement le plus en contact avec ce dernier, même si toutefois je vous l’accorde il est plus simple de voir le Maire de son village, qui est peut être votre voisin, que le Maire de Paris ou autre grand centre urbain.
A charge donc, du prétendant de convaincre 500 personnes parmi les 36 000.
Nous avons pu constater lors des élections Européennes la présence de 38 listes ou 38 candidats, présentant tous plus ou moins la même chose, tout en sachant fort bien que vu le peu de score ils/elles seraient des « Don Quichotte » à Bruxelles. Fort heureusement il y a un minimum requis de votes pour siéger.
Alors certes c’est très « démocratique » mais inutile, voire plus. Imaginez un instant le retour des Présidentielles avec 50 candidats ?
Je ne pense pas que la suppression de cette condition préalable soit véritablement un bienfait pour le Pays, ni un acte démocratique. Cela ne réduirait pas non plus l’abstentionnisme, véritable déni de « démocratie ». Déjà que les citoyens ont bien du mal à faire leur choix pour quelques candidats....
Par contre, là où nous avons assisté à toute la bassesse politique, c’est en 2016, ou « l’homme au scooter » détenteur du titre, devant sa défaite certaine et celle de ses congénères, n’a pas hésité un instant afin de réduire un prétendant sérieux, de rendre « public » le choix des élus. Evidemment tout cela sous le couvert hypocrite de la « transparence de la vie politique ». C’est dire jusqu’ou ils peuvent aller pour ne pas perdre ou se maintenir.
Bien évidemment j’évoque le cas précis du R.N., dont la classe politique s’accommode pleinement de leur présence pendant la durée du mandat, mais conspire disons le franchement, avec l’aide des médias, dans un martelage médiatique de diabolisation à chaque moment électoral. Je suis convaincu que le R.N. et L.F.I. bénéficierons du même traitement pour 2027.
11/09 13:05 - Karugido
@Enki "Mais votre commentaire va dans tous les sens et j’en reste là. J’en retiens (...)
11/09 12:18 - Enki
11/09 12:17 - Enki
@Karugido Beaucoup de gens chez culture RIC sont pour une oligarchie participative, car (...)
11/09 11:21 - Karugido
@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot Il y a des choses intéressante mais (...)
11/09 11:15 - Karugido
@Enki "Il n’est nullement fait mention de la démocratie dans la DDHC, « Je n’ai (...)
11/09 04:00 - Pierrot
@Karugido J’avais bien compris que vous parliez du Droit et du système qui organisent (...)
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