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Commentaire de Legestr glaz

sur Merci Macron ! Le prix de la dissolution...


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Legestr glaz Legestr glaz 25 septembre 07:56

@rosemar

Et j’en rajoute une couche avec les feux de forêts, la pollution qui nait des feux de forêts, et qui se transporte sur des centaines, voire des milliers de kilomètres. Les feux de forêts au Portugal au mois de septembre 2024 et ceux de l’été au Canada sont-ils « innocents » pour la santé humaine, pour la santé des Français ?
Est-ce que l’on parle des effets pathogènes sur la santé humaine des feux de forêts ? La pollution à travers les gaz et les matières particulaires PM10, mais aussi les particules fines PM 2,5, et ultra fines PM 0,1, les plus dangereuses, parce qu’elles descendent loin dans les poumons, mais non mesurées du fait de leur taille manométrique, est une source de maladie chez les êtres humains. C’est bien la compétence du système immunitaire chez l’un ou chez l’autre qui fait la différence.Vacciner une personne au système immunitaire diminué est d’une inutilité absolue. 

Plusieurs études scientifiques sont formelles : la pollution atmosphérique affecte le système respiratoire des enfants (mais aussi des adultes). La pollution émanant des feux de forêts peut se transporter, selon les conditions atmosphériques (orientation du vent) sur des centaines et des centaines de Km.

« Nozotorités » ont bien du mal à communiquer sur le sujet. Les « virus » ont le dos large !

Extrait d’une étude portugaise (réalisée à la suite d’incendies en 2017).


... « Les résultats obtenus dans cette étude indiquent que la fumée des feux de forêt a un impact sur la fonction pulmonaire des enfants et sur la mortalité post-néonatale, en raison de l’exposition aux matières particulaires polluantes de taille inférieure à 10 micromètres (PM 10)et au dioxyde d’azote (NO 2).

Cela concorde avec cette étude de Kotecha (2020), qui a montré que les principaux polluants environnementaux, NO 2, PM 10et dioxyde de soufre (SO 2), étaient associés à la mortalité infantile, induisant une inflammation pulmonaire qui pourrait être médiée par l’absorption de particules de carbone par les cellules immunités ( en l’occurrence les macrophages alvéolaires).

Les enfants courent un risque accru car leurs poumons continuent à se développer jusqu’à environ six ans et ils ont une surface pulmonaire plus grande (par kilogramme de poids corporel) que les adultes, respirant 50 % d’air en plus que les adultes lors d’une respiration normale. »

Et conclusion de cette étude :

... « Il s’agit de la première étude portugaise évaluant les contributions des incendies extrêmes de forêt de 2017 sur la santé des enfants, combinant mortalité, morbidité et coûts associés.

Les résultats ont montré que les épisodes dévastateurs d’incendies de forêt survenus en 2017 ont eu un impact considérable sur la fonction pulmonaire des enfants (morbidité et mortalité), entraînant environ 0,2 décès annuel supplémentaire lié aux effets de l’exposition à long terme aux PM 10sur la mortalité post-néonatale, une augmentation de 328 cas attribués à la prévalence de la bronchite chez les enfants et une augmentation de 16 cas associés aux effets de l’exposition à long terme au NO 2 sur les symptômes de la bronchite chez les enfants asthmatiques, par rapport à 2016.

En comparant les valeurs estimées de la mortalité post-néonatale, de la prévalence de la bronchite chez les enfants et des symptômes de bronchite chez les enfants asthmatiques (pour 2016 et 2017), il est possible d’observer une augmentation considérable des coûts d’environ 1 million d’euros pour tous les critères de santé évalués. »...

Les « virus » ont le dos très large ! C’est tellement facile de faire porter le chapeau à des « virus ». Et ces maladies en lien avec la pollution atmosphérique ne concernent, hélas pas, que les « feux de forêts », mais toutes les formes de pollution dont les éruptions volcaniques, les tempêtes de sable du désert, les épandages agricoles (pesticides et engrais chimiques), et, bien évidemment, toutes les formes de pollution industrielle (voitures, bateaux, cheminées d’usines, feux de cheminée, chaudières, etc). La pollution atmosphérique est très présente autour de nous. Il suffit, pour une raison ou bien une autre, qu’elle se « densifie » un peu plus que d’habitude, et les organismes fragiles le ressentent immédiatement avec des crises d’asthme, de bronchites, de bronchiolites, de nez qui coule, de gorge irritée, de toux, de maux de tête et même de fièvre, d’accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques.

Et tout ceci est parfaitement bien documenté par de nombreuses études scientifiques mais le « grand public » est maintenu dans l’ignorance et « on » lui fait gober la« dangerosité virale » contre laquelle il faut se faire « vacciner » à grand coup de campagnes publicitaires ! 

 L’éveil, hélas, n’est pas pour tout de suite, parce que faire porter le chapeau à des « virus » permet de se faire un peu de pognon à travers la vaccination. Et si l’on songe que c’est la pollution atmosphérique, sous toutes ses formes, qui affecte les systèmes respiratoires et cardiovasculaires chez les êtres humains, nous pouvons mesurer la stupidité absolue de la « vaccination ». 


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