Merci Macron ! Le prix de la dissolution...

@rosemar
et ceux qui sont morts du Covid et qui n’étaient pas vaccinés ?

Et ceux qui sont morts du covid et qui étaient vaccinés ?

Il y a plus de 10% d’adultes non injectés en France, ce qui doit représenter un échantillon représentatif de plus de 5 millions de personnes. Il n’y a pas beaucoup d’études scientifiques qui reposent sur un tel échantillon. Alors si ces gens sont plus morts depuis 2021 que les injectés, cela doit se voir dans les statistiques de mortalité générale de cette population. Hors curieusement, on peine à obtenir les chiffres de décès par statut vaccinal, comme si nos autorités ne connaissaient pas le statut vaccinal de chacun d’entre nous ?
On a même possibilité, si je ne m’abuse, de retrouver une vidéo d’un académicien de médecine qui nous prévoyait quasiment une hécatombe probable chez les non injectés. Comme quoi, on peut être académicien et être loin d’avoir la science infuse. J’attends toujours la preuve irréfutable que ces injections on fait plus de bien que de mal, mais malgré ce qui est asséné dans les médias souvent financés, on ne voit pas grand chose venir...

@mac
or...

ce n’était pas un académicien visiblement, mais quand même un professeur ayant largement pignon sur rue et sa place dans les médias...

@rosemar
 Mais « qui » sont ces morts rosemar ? Quelle sont les personnes qui peuvent mourir du covid. Vous faites exprès de l’ignorer ?

Vous pensez que le covid frappe à l’aveugle et que c’est simplement une question de chance ?

Le covid c’est simplement un état de déséquilibre redox chez les êtres humains. Ceux qui n’arrivent pas à maintenir cet équilibre redox décèdent de leurs problèmes respiratoires, peu importe d’ailleurs la cause des problèmes. Les gens décèdent très majoritairement de pneumonies ou de détresse respiratoires aiguës. 

Et l’équilibre redox est en péril chez les diabétiques, chez les insuffisants rénaux, chez les insulinothérapies-résistants, chez les hyperglycémies, chez les hyper-insulinémiques, chez les personnes atteintes de BPCO, ou d’asthme, ou d’un cancer, chez les obèses et les personnes en surpoids. 

Et vous croyez que les « vaccins » vont protéger ces personnes ? Vous pensez que les « vaccins » vont venir stabiliser l’équilibre redox chez elles ? 

C’est tellement facile de faire croire à des « virus » pour éviter de parler des problèmes majeurs de santé des gens et des déséquilibres physiologiques qu’ils développent au fil des années à la suite de mauvaises habitudes de vie. Des gens qui sont malades et que la moindre agression dans leur environnement peut conduire au trépas. Et venir nous parler de « vaccins » ! C’est navrant parce qu’il y aurait des possibilités pour soutenir ces gens fragilisés mais surtout pas par des vaccins, absolument inutiles. 

Lorsque les voies respiratoires sont attaquées par les nanoparticules de la pollution atmosphérique, qu’elles soit de nature gazeuse ou particulaire, la faible dimension de celles-ci fait qu’elles atteignent les alvéoles pulmonaires. Dès cet instant le système immunitaire est en branle et les macrophages résidant dans les alvéoles vont s’appliquer à détruire ces molécules nanométriques en produisant force molécules oxydantes, parce que c’est leur unique moyen d’action. Et le glutathion présent dans les voies respiratoires inférieures jouera son rôle d’antioxydant autant que de besoin dans un organisme à l’équilibre redox compétent.
Il se trouve que chez les diabétiques, etc, etc, le glutathion dans les voies respiratoires inférieures fait drôlement défaut. Et les alvéoles sont alors agressées et incapables de ventiler suffisamment les poumons. L’oxygène fait défaut dans l’organisme et la détresse respiratoire aiguë se met en place. Et le manque d’oxygène dans les cellules va faire que celle-ci vont basculer leur production d’énergie vers la seule glycolyse ce qui aura pour effet d’exacerber le stress oxydatif. Et c’est la mort au bout du chemin. Et puis, les bactéries résidentes dans les voies respiratoires, par manque de défense immunitaire dans les alvéoles, parviennent à pénétrer la circulation sanguine provoquant les pneumonies.
Et les vaccins dans tout ça : aux abonnés absents, ils sont inutiles.

... «  Les cellules épithéliales de la surface alvéolaire des voies respiratoires inférieures humaines sont vulnérables aux oxydants toxiques dérivés de polluants inhalés ou de cellules inflammatoires. Bien que ces cellules pulmonaires contiennent des antioxydants intracellulaires, ces défenses peuvent être déficientes pour protéger la surface épithéliale contre les oxydants présents à la surface alvéolaire. Cette étude démontre que le liquide de revêtement épithélial (ELF) des voies respiratoires inférieures contient de grandes quantités de glutathion antioxydant contenant du sulfhydryle (GSH). La concentration totale de glutathion (la forme réduite du GSH et le disulfure du GSSG) de l’ELF normale était 140 fois supérieure à celle du plasma des mêmes individus, et 96 % du glutathion de l’ELF était sous forme réduite. »...

@rosemar

Et j’en rajoute une couche avec les feux de forêts, la pollution qui nait des feux de forêts, et qui se transporte sur des centaines, voire des milliers de kilomètres. Les feux de forêts au Portugal au mois de septembre 2024 et ceux de l’été au Canada sont-ils « innocents » pour la santé humaine, pour la santé des Français ?
Est-ce que l’on parle des effets pathogènes sur la santé humaine des feux de forêts ? La pollution à travers les gaz et les matières particulaires PM10, mais aussi les particules fines PM 2,5, et ultra fines PM 0,1, les plus dangereuses, parce qu’elles descendent loin dans les poumons, mais non mesurées du fait de leur taille manométrique, est une source de maladie chez les êtres humains. C’est bien la compétence du système immunitaire chez l’un ou chez l’autre qui fait la différence.Vacciner une personne au système immunitaire diminué est d’une inutilité absolue. 

Plusieurs études scientifiques sont formelles : la pollution atmosphérique affecte le système respiratoire des enfants (mais aussi des adultes). La pollution émanant des feux de forêts peut se transporter, selon les conditions atmosphériques (orientation du vent) sur des centaines et des centaines de Km.

« Nozotorités » ont bien du mal à communiquer sur le sujet. Les « virus » ont le dos large !

Extrait d’une étude portugaise (réalisée à la suite d’incendies en 2017).

... « Les résultats obtenus dans cette étude indiquent que la fumée des feux de forêt a un impact sur la fonction pulmonaire des enfants et sur la mortalité post-néonatale, en raison de l’exposition aux matières particulaires polluantes de taille inférieure à 10 micromètres (PM 10)et au dioxyde d’azote (NO 2).

Cela concorde avec cette étude de Kotecha (2020), qui a montré que les principaux polluants environnementaux, NO 2, PM 10et dioxyde de soufre (SO 2), étaient associés à la mortalité infantile, induisant une inflammation pulmonaire qui pourrait être médiée par l’absorption de particules de carbone par les cellules immunités ( en l’occurrence les macrophages alvéolaires).

Les enfants courent un risque accru car leurs poumons continuent à se développer jusqu’à environ six ans et ils ont une surface pulmonaire plus grande (par kilogramme de poids corporel) que les adultes, respirant 50 % d’air en plus que les adultes lors d’une respiration normale. »

Et conclusion de cette étude :

... « Il s’agit de la première étude portugaise évaluant les contributions des incendies extrêmes de forêt de 2017 sur la santé des enfants, combinant mortalité, morbidité et coûts associés.

Les résultats ont montré que les épisodes dévastateurs d’incendies de forêt survenus en 2017 ont eu un impact considérable sur la fonction pulmonaire des enfants (morbidité et mortalité), entraînant environ 0,2 décès annuel supplémentaire lié aux effets de l’exposition à long terme aux PM 10sur la mortalité post-néonatale, une augmentation de 328 cas attribués à la prévalence de la bronchite chez les enfants et une augmentation de 16 cas associés aux effets de l’exposition à long terme au NO 2 sur les symptômes de la bronchite chez les enfants asthmatiques, par rapport à 2016.

En comparant les valeurs estimées de la mortalité post-néonatale, de la prévalence de la bronchite chez les enfants et des symptômes de bronchite chez les enfants asthmatiques (pour 2016 et 2017), il est possible d’observer une augmentation considérable des coûts d’environ 1 million d’euros pour tous les critères de santé évalués. »...

Les « virus » ont le dos très large ! C’est tellement facile de faire porter le chapeau à des « virus ». Et ces maladies en lien avec la pollution atmosphérique ne concernent, hélas pas, que les « feux de forêts », mais toutes les formes de pollution dont les éruptions volcaniques, les tempêtes de sable du désert, les épandages agricoles (pesticides et engrais chimiques), et, bien évidemment, toutes les formes de pollution industrielle (voitures, bateaux, cheminées d’usines, feux de cheminée, chaudières, etc). La pollution atmosphérique est très présente autour de nous. Il suffit, pour une raison ou bien une autre, qu’elle se « densifie » un peu plus que d’habitude, et les organismes fragiles le ressentent immédiatement avec des crises d’asthme, de bronchites, de bronchiolites, de nez qui coule, de gorge irritée, de toux, de maux de tête et même de fièvre, d’accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques.

Et tout ceci est parfaitement bien documenté par de nombreuses études scientifiques mais le « grand public » est maintenu dans l’ignorance et « on » lui fait gober la« dangerosité virale » contre laquelle il faut se faire « vacciner » à grand coup de campagnes publicitaires ! 

 L’éveil, hélas, n’est pas pour tout de suite, parce que faire porter le chapeau à des « virus » permet de se faire un peu de pognon à travers la vaccination. Et si l’on songe que c’est la pollution atmosphérique, sous toutes ses formes, qui affecte les systèmes respiratoires et cardiovasculaires chez les êtres humains, nous pouvons mesurer la stupidité absolue de la « vaccination ». 

@Géronimo howakhan

 Bonjour Géronimo et merci.

Je viens d’écouter l’intervenant. Tout ce à quoi je m’intéresse en profondeur, y est.
Le stress oxydatif, les espèces réactives à l’oxygène, l’équilibre redox, le glutathion, le jeûne, la voie Nrf2, l’autophagie. Bref, tout ce dont il faudrait tenir absolument compte pour se maintenir en bonne santé.

Mais ce n’est pas le chemin que l’on veut nous faire suivre. La médecine allopathique, à coup de traitements médicamenteux, nous éloigne de la réalité biologique. Parce que ce que l’on appelle « dysfonctionnements », chez l’être humain, n’en sont pas. Ce sont, plus exactement, des « pis-aller », des « solutions provisoires » que développe l’organisme dans l’adversité. Parce que les dommages qu’il subit, il doit les compenser. C’est sur ces « dommages » qu’il faut intervenir. Mais ce n’est pas ce qui est fait.

@mac
Entre ceux qui prévoyaient une hécatombe chez les non vaccinés, et ceux qui annonçaient une hécatombe chez les vaccinés, eh bien les deux paranoïa ont été démenties.

@Eric F
 
’’ Entre ceux qui prévoyaient une hécatombe chez les non vaccinés, et ceux qui annonçaient une hécatombe chez les vaccinés, eh bien les deux paranoïa ont été démenties. ’’
 — >
 Mise en parallèle particulièrement vicieuse, et à tous points de vue
 
 

@Eric F

Il n’y a strictement aucun rapport entre la maladie covid19, les vaccinés et les non vaccinés. 

Cette maladie des voies respiratoires a tué les personnes sensibles à la suite de pneumonies, de détresses respiratoires aiguës, de tempête oxydative.

Vaccinés et non vaccinés étaient à mettre sur le même plan. Parce que la « vaccination » n’a strictement aucun effet sur l’équilibre redox de l’organisme. Parce que le sujet est bien celui là dans la maladie covid19 : une dérégulation de l’équilibre redox qui induit un stress oxydatif démesuré et une explosion inflammatoire. 

Lorsque je lis ceci dans une étude scientifique, révisée par les pairs, je me dis que certains rédacteurs ont l’imagination fertile. Tout ce qui est dit ci-après relève de la plus pure imagination, de la pure spéculation, ne repose sur aucune réalité, mais c’est « révisé par les pairs », mais le côté « scientifique » est absent, totalement absent.

... « Alors que les miARN de l’hôte attaquent les ARN viraux, les miARN viraux ciblent les transcriptions de l’hôte. Finalement, le taux d’expression et le type de miARN sont également différents chez les patients atteints de COVID-19 avec des charges virales différentes.Il est conclu que des signatures spécifiques de miARN dans la phase d’activation des macrophages peuvent offrir l’occasion de prendre conscience de la gravité de la COVID-19 chez les patients souffrant d’obésité et de diabète de type 2 lié à l’ obésité. »...

@Francis, agnotologue
Ravalez vos invectives, la mise dos à dos des thèses d’hécatombes par les catastrophistes des deux bords est parfaitement justifiée.

@Legestr glaz
Dans mon commentaire, je n’ai parlé ni des causes de la maladie, ni de l’efficacité ou pas du vaccin, mais des prophéties annonçant une hécatombe épouvantable -soit du fait de la maladie, soit des effets du vaccin- démentie ensuite par les réalités.

@Eric F
 
 ’’ Ravalez vos invectives, la mise dos à dos des thèses d’hécatombes par les catastrophistes des deux bords est parfaitement justifiée.’’
— >
Ben voyons. Comme si les Cassandre de chacune des deux thèses étaient aussi dos à dos dans la vie sociale !!!
 
Pfff !
 
 Les uns avaient les médias, la SCIENCE et les pouvoirs politiques et économiques avec et derrière eux, les autres avaient tout ça devant et contre eux.
 
 Et le ’dos à dos’ des thèses que vous mettez en avant n’a rien changé à cette injustice du pot de fer contre le pot de terre. Les mêmes scélérats n’attendent que l’occasion de remettre ça.
 
L’oms et le contrôle des population

@Eric F

Je ne suis pas au courant de ces prophéties, ni pour les vaccinés, ni pour les non vaccinés. J’ai manqué cette information. Qui prétendait ce genre de chose ?

@Lynwec
Qu’il y ait eu des décès après vaccination, en effet et certains vaccins ont même été retirés en cours de campagne, mais pas de l’ordre d’une hécatombe. C’est l’aspect paranoïaque de ces annonces que j’évoquais (il y a même eu allégation de volonté génocidaire délibérée).
Le catastrophisme le plus outrancier a été tour à tour brandi par ’’le système’’ et les ’’anti’’, certes pas avec les mêmes moyens de propagande et conditionnement.

Ce funeste épisode de crise sanitaire a laissé des traces, il y a dans la société davantage d’agressivité et de dépression qu’auparavant, on peut le relever ici même.

@Eric F
 
 le moinsseur du post de Lynwec ci-dessus est méprisable et écœurant.
 

@Lynwec
 
La « vaccination ». Un piqure qui permet de passer outre les défenses immunitaires de première ligne. Comme une morsure, une coupure, qui donnent accès à la circulation sanguine.
A savoir qu’il n’existe pas, dans le corps humain, un vaisseau sanguin éloigné de plus de 2 cellules. Ce qui fait que n’importe quelle injection touchera nécessairement un capillaire sanguin. 
Et que contiennent les « vaccins ». A la « belle époque », ils contenaient de l’aluminium parce que « sans aluminium » l’organisme ne produisait pas d’immunoglobuline.
Voici ce que l’on trouve dans la littérature « scientifique » récente (2023) : « 

@Legestr glaz

’’la composition des vaccins est secrète’’

Ainsi pour le vaccin Pfizer, il était indiqué les additifs suivants (enrobants, conservateurs...) :

• ((4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis(2-hexyldécanoate) (ALC-0315)
• 2- [(polyéthylène glycol)-2000]-N,N-ditétradécylacétamide (ALC-0159)
• 1,2-Distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine (DSPC)
• Cholestérol
• Trométamol
• Chlorhydrate de trométamol
• Saccharose

Ces vaccins ne comportaient pas d’adjuvant (alu ou squalène par exemple)

Ce qui a été mis en cause c’est le ’’droit de propriété’’ des fabricants et les procédés de fabrication, notamment par des organismes humanitaires et des pays en développement.

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Concernant l’aluminium, ce que vos indiquez est en effet alarmant, notamment avec la multiplication des injections sur les nourrissons.