J’essaye de suivre la question ici par ex question au sénat : "La faiblesse des effectifs contraste singulièrement avec l’importance du
vivier français de locuteurs natifs et la force de notre tradition
orientaliste depuis Sylvestre de Sacy, la richesse de la culture arabe
classique et la vitalité des médias arabophones contemporains, enfin le
poids géostratégique des pays arabes et les liens historiques qui les
rapprochent de la France...
La faiblesse de l’enseignement de l’arabe en France n’est pas sans
conséquence directe sur l’enseignement du français dans les pays arabes :
tout désengagement de notre part peut être interprété comme un
désintérêt, qui poussera les pays arabes à reconsidérer à leur tour la
place du français, au profit de l’anglais notamment. L’affaiblissement
des liens culturels, que l’apprentissage croisé des langues permettait
de renforcer, risque d’avoir à long terme des répercussions politiques
et économiques sérieuses.
"
https://www.senat.fr/questions/base/2009/qSEQ091010391.html
et réponse du ministre, mais c’était en 2010, après certains à droite et extrême ont insisté sur la question de l’islam, d’où les différentes positions : nourrit le communautarisme ou au contraire fait la part du feu.
https://www.leparisien.fr/societe/enseignement-de-l-arabe-a-l-ecole-cinq-questions-sur-une-polemique-06-10-2020-8397924.php
https://www.lemonde.fr/idees/article/2014/02/11/il-faut-enseigner-l-arabe-dans-le-service-public_4364171_3232.html