Les dirigeants européens n’ont nullement désapprouvé un coup d’Etat en Ukraine en 2014, se sont clairement torchés avec les accords de Minsk qui prévoyaient le respect des frontières de l’Ukraine, se sont clairement assis sur le « Code de Nuremberg » durant l’épisode Covid et approuvent tacitement un génocide en Palestine pour ne pas faire de vague. Partout dans les pseudo pays démocratique la critique politique argumentée est combattue farouchement, au point qu’un humoriste allemand critiquant la politique de son pays s’est vu condamné pour « propos à caractère haineux ». Partout la critique politique des pratiques de l’entité sioniste est stigmatisé voire pénalisée comme propos antisémites, ce qu’ils ne sont la plupart du temps pas.
Coluche disait que la « démocratie » c’est « cause toujours » et la dictature c’est « fermes ta gueule » et c’est désormais la seconde formule qui est à l’ordre du jour.
Ils n’ont aucun compte à nous rendre, puisque l’architecture même de nos institutions conduit clairement à la dictature à la première occasion, à défaut à des pratiques très autoritaires au bénéfice exclusif d’une frange infime de la population, classiquement les plus fortunés.
Quasiment rien n’a changé depuis le Moyen-âge sinon le décor. Ils ont découvert entre temps qu’il y avait plus discret et aussi efficace que le bûcher ou le peloton d’exécution pour se débarrasser des gêneurs.