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Commentaire de Hervé Hum

sur Joyeux 7 octobre


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Hervé Hum Hervé Hum 8 octobre 14:56

@Eric F et cie

Dans la réalité, seule la causalité peut dire « jamais » !

C’est aussi celle qui dicte les conditions d’existences d’un principe.

La paix par exemple, sa condition d’existence est la soumission à des lois communes.

Cette paix sera plus ou moins viable et perenne selon que les lois sont majoritairement partagées volontairement ou non.

Dans le monde tel qu’il existe, les relations entre souverains (1) de chaque pays peuvent se résumer comme suit

« dans un rapport de domination, la loi ou accord ou règle régissant la condition de »paix« relative est toujours la somme des concessions faites par le plus fort au plus faible en échange de sa soumission. Où le plus fort se réserve toujours le »droit" de sursoir, changer, voir supprimer les termes de la loi ou accord selon l’évolution de ses intérêts, tandis qu’il punira avec plus ou moins de sévérité tout manquement du faible à la loi. Ce dernier attendant que le rapport de force évolue en sa faveur pour dénoncer la loi ou accord et si possible, inverser le rapport de domination.

Car la loi est toujours celle du plus fort, quel que soit le système, démocratique ou dictature peu importe. Et quelle que soit l’échelle physique.

J’ai écris un article pour invalider les arguments des anti-mondialistes, je vous renvoi à celui-ci, je vais pas me répéter. Mais une chose est certaine, on ne saurait avoir expérimenté ce qui n’existe pas encore et n’a jamais existé. A preuve du contraire, l’ONU actuelle n’a rien de démocratique et son rôle jusqu’à présent a seulement été de permettre le débat diplomatique du rapport de force, donc, de domination entre chefs de gangs, euh, d’état, puisque la force étant détenu par les chefs de gangs eux même, elle ne sert pas le droit international, mai seulement les intérêts des chefs de gangs pour lesquels Francis dit qu’il est prêt à mourir !

Etc...

(1) c’est à dire comme le résumait Voltaire « le petit nombre qui fait travailler le grand, est nourri par lui et le gouverne » De cela, découle que seul ce petit nombre est réellement libre, le grand nombre lui étant soumis volontairement (la somme des idiots utiles des natures protectrices, plus les nature d’être opportuniste et parasite) ou par contrainte, ceux qui croient en la souveraineté du grand nombre dans un monde en guerre perpétuelle, alors même que l’état d’urgence conséquence de l’état de guerre permanente exige d’elle même d’avoir des chefs de guerre. Que ce soit sur le plan militaire ou économique, peu importe, un principe étant invariant fondamentalement quelle que soit l’échelle ou le domaine.
Bref, Francis nous dit qu’il préfère défendre la liberté de ses maîtres locaux (car s’il était lui même un maître, il ne serait pas là) contre des maîtres mondiaux. Mais dans les deux cas, il y a de liberté que celle du petit nombre.

Sauf un argument qui dit qu’au niveau mondial il ne peut pas y avoir de maîtres par domination, mais uniquement des maître par considérations. Autrement dit, par mérite personnel reconnu et qui interdit par définition l’exploitation du mérite d’autrui à son profit, mais uniquement selon son apport, utilité.Car voyez vous, même dans le système dit « néo libéral », la base éthique est toujours le principe du mérite, mais celui du prédateur quant à l’art et la manière de « manger » le temps de vie d’autrui à son profit. Etc...


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