@Buzzcocks
Vous n’avez manifestement pas compris à ce qui est exposé dans cet article. Mais peut-être doit-on mettre cela sur le compte d’un réflexe pavlovien instillé par nos organes de pouvoir.
Il n’est pas ici question de critiquer la culture (latine) de vos ancêtres ni de fustiger les anciennes vagues d’immigration qui ont façonné notre pays, mais de mettre en lumière les mensonges de ceux qui cachent la réalité de la situation et qui œuvrent à son aggravation en prônant une immigration sans condition ni retenue.
Cette mise au point est d’autant plus justifiée que les temps où une forte immigration était bénéfique (voire nécessaire) à l’intérêt général et où elle débouchait sur l’intégration des nouveaux venus à la Nation sont maintenant révolus.
Pour moi, la question n’est pas de savoir si mes enfants prendront du cassoulet, des raviolis ou du coucous à midi, mais plutôt de savoir s’ils pourront manger à leur faim, s’ils arriveront encore à concurrencer l’exploitation inhumaine de cette nouvelle immigration, s’ils arrêteront de subir les discriminations et la xénophobie de communautés étrangères, nombreuses, fermées et souvent influentes qui prennent pied dans notre pays, s’ils ne finiront pas par être étrangers dans leur propre pays du fait de leur culture et de la couleur de leur peau. Ce ne sont pas des paroles en l’air, mais le rappel de mauvaises expériences qui tendent à se multiplier.