INFORMATION FR3 : « il est impossible de dire qu’on est envahi en France, les chiffres le prouvent »
La chaîne a offert une tribune à son journaliste cgtiste Bouard pour parler d’immigration avec ses sources "d'experts" choisis.
Florilège.
Son sociologue Pier Galloro considère qu’il faut remplacer le mot « immigration » par celui de « circulation » un phénomène naturel… Il estime que les approches politiciennes sur l’immigration « diabolisent à souhait, en voulant donner l’illusion d’un contrôle, et qui provoquent de graves dangers (lesquels ??) … les freins à l’embauche légale d’étrangers en France conduisent à augmenter le nombre de travailleurs sans-papiers ». Avec Galloro c'est open bar, il règle le problème en oubliant les frontières et en embauchant les illégaux. Régis Debray ne serait pas d'accord avec lui.
Pour son chercheur Olivier Clochard « les projets personnels sont plus forts que les politiques … les lois immigrations « compliquent la vie des migrants, et créent une bureaucratie démesurée…Elles sont très coûteuses en moyens… Elles enrichissent également ceux qui se spécialisent dans la surveillance, la sécurité, le contrôle. » Combien est-il payé pour trouver ça ?
Bouard enfonce le clou « Pour les scientifiques, ces discours et ces actes peuvent entraîner de graves troubles sur le territoire national, liés à la discrimination ». Des troubles plus graves que ceux constatés ? Et il ajoute « 78% des gens considèrent que l'immigration est une source d'enrichissement culturel » mais oublie de rappeler que 71% des français estiment qu'il y a trop de migrants, comme 78% des allemands et que la Suède a inversé son solde migratoire. De l'information sélective ou de la désinformation ?
Dans son tract « Votons snj-cgt » il était pourtant rappelé que ; « Les journalistes ont une mission d’intérêt général, celle d’informer les citoyens. Pour regagner la confiance de ces derniers, il est impératif de dénoncer et d’éradiquer les dérives en cours dans la profession. Les journalistes doivent bénéficier de leur liberté d’expression dans l’exercice de leur métier … » !!! Bouard devrait relire ses tracts.
Cerise sur le gâteau, Bouard cite François Héran qui travaille également à démonter les mythes et les clichés autour de la « supposée hyperattractivité du système social français pour les candidats à l’immigration ».
Interrogé le 8/09 par France Info sur la question des OQTF que la France émet en plus grand nombre que les autres pays européens quand elle est la dernière à procéder aux expulsions, Héran répond " c'est parce que la France en émet trop ". Le simpliste démographe règlerait les problèmes en évitant d'en parler.
Bouard se demande « ...pourquoi ces faits établis sur des données concrètes sont-ils oubliés des politiques ? Pourquoi les scientifiques spécialistes de ces questions ne sont-ils pas écoutés par les gouvernements ? » Parce que ces démographes comme certains historiens détournent leurs domaines d'activités à des fins propagande idéologiques.
On lui apportera donc ici une réponse avec ces quelques lignes titrées précédemment « Immigration, le grand déni », une assertion d’intellectuels qui entendent corriger l'opinion populaire (populistes ?), l'immigration ce n'est pas ce qui se dit bien sûr. Presse et institution se lancent donc dans l'exercice pédagogique nécessaire avant toute loi, voire peut-être référendum. Pour cela, une éminent démographe est descendu de sa tribune du Collège de France (*) pour celle du Monde et entend démonter « les fantasmes et les discours politiques alarmistes sur une France assaillie, à l’identité menacée… 7 millions d’immigrés vivent aujourd’hui en France, soit environ 10,3 % de la population, contre 4,5 millions en 2000 ». Il s’agit de « dégonfler le mythe ».
Voyons si l’objectif atteindra son but au vu de ce qui suit, en comparant ces chiffres avec ceux du même auteur.
Nos scientifiques démographes, statisticiens, anthropologues et autres sociologues ont mission d’informer, de prévenir et de conseiller nos gouvernements attentifs aux augures, et en l'occurrence de livrer des motifs avant des décisions imminentes. Gouverner c’est prévoir avec un terrain bien balisé.
Si la démographie n’est pas une discipline bornée au traitement de chiffres avec la mentalité froide d’un tableur Excel, les manipulations d'experts ne doivent pas céder non plus à la tentation de leurs obédiences, aux idéologies politiques ou philosophiques, et ne devraient pas guider leurs résultats comme ces historiens qui présentent des faits en occultant les causes pour favoriser la leur.
Qu’en est-il ? Retour en arrière.
Il faut donc retourner à l’analyse de l’éminent spécialiste du Collège de France que l’on confrontera à la dure réalité de son exercice, et au bienfondé de son opinion. En 2018 le prestigieux Collège a créé une chaire « Migrations et sociétés » présentée avec « une approche scientifique » du domaine, censée échapper à « l’ignorance et à la mauvaise foi … et à toute manipulation idéologique ». Pourvue par le chercheur en sciences sociales François Héran (*) -INED- INSEE- dont il serait trop long de rappeler le cursus, on se contentera ici de répéter son propre compliment glissé lors de sa leçon inaugurale à ses condisciples « qui ont fait appel à ses lumières ».
Avec son préambule « les migrations sont des composantes ordinaires de la dynamique des sociétés », lui ne parle pas de "circulation" comme Galloro. Hérant plante le décor, la science ne manipule pas d’idéologies malsaines, elle démontre sans préjugés. Pas comme ces apeurés « …du XXe s. devant l’invasion des barbares et des nomades de Bretagne, d’Auvergne ou de Savoie à Paris, des prolétaires inassimilables … ». Une référence pour ridiculiser « la panique des libellistes d’aujourd’hui devant l’étrangeté des migrants… » Comprenez, des ignorants dont le procès a déjà été fait à Valladolid.
Au chapitre des motifs, ils doivent savoir aussi que « si les populations du Maghreb sont si nombreuses à venir chez nous c’est une réponse au colonialisme ». Pour le chercheur causes et conséquences sont imputables au fait colonialiste, « les liens frayés avec la métropole coloniale et les diasporas » favorisent l’immigration, une opinion qui enjambe les déflagrations des décolonisations. Était-ce la réponse du Collège de France au Ministre de l’Intérieur Gérard Collomb qui au même moment déclarait à propos des communautarismes en France « « Aujourd'hui, on vit côte à côte, je crains que demain on puisse vivre face-à-face » ?
Entrons dans le dur avec ses propres chiffres.
En 2018 les immigrés de première génération pesaient 11% (7,5 millions), pour le démographe la seconde génération n’est plus immigrée 13% (8,5 millions) ; soit 24% de la population française et deux fois plus qu’en 1930.
Sans la clé de lecture qui normalise les chiffres du démographe, tous ces chiffres n’ont aucun sens et portent le soupçon d'une idéologie… "7 millions en 2018 avec 8,5 millions d’enfants non comptabilisables" En 2023 après cinq années d'immigrations massives, le démographe livre sa dernière estimation "... 7,5 millions d’immigrés".
Continuons avec sa leçon inaugurale.
En 2015 l’UE accueillait déjà deux fois plus de migrants (2,4 millions) que les Etats-Unis (1,1 million). L’immigration en France était soutenue par un besoin de M.O. encore. La part des migrants du Maghreb et des autres pays d’Afrique a encore explosé avec 45% des migrants en 2013.
L’exposé de ces données s’inscrivait dans un discours qui se voulait rassurant, l’immigration est un phénomène ancien dont la France a l’expérience. Les chiffres et les dates indiscutables s’enchaînent avec des statistiques qui ne laissent pas place aux conséquences sociologiques, pas un mot sur les communautarismes qu’ils ont créés ni pour leurs conséquences avec la disparition de la nation. Dans le temple de la bienséance on écoute sans discuter ; honnit soit qu’il mal y pense.
Voyons la suite.
En 2016 François Héran pensait « La France a un comportement étrange face à la crise migratoire ... Migration de remplacement ou de peuplement ? » Pour l’expert, « …elle ne remplace pas mais s’y ajoute et peu à peu ils (les migrants) s’y mêlent », il faut attendre plus loin dans sa leçon pour en savoir plus quant aux effets de l’immigration qu’il qualifie « d’infusion durable qui finit par modifier les origines de la population ». Un constat apprécié différemment par Albert Jacquard et Angela Merkel ; le premier haranguait ce qui se répétera dans les années 70/80 « La richesse est dans la différence » et la seconde en 2010 dénoncera le fiasco du multiculturalisme en Europe. Elle sera accompagnée par la France, le Royaume-Uni et la présidence européenne. Ces conclusions n’ont pas été abordées au Collège.
Le professeur cite des « économistes qui l’ont abondamment montré, les effets de l’immigration de l’Etat et la protection sociale sont neutres ou marginaux » (2). Même si leurs calculs étaient avérés, cet aspect global ne devrait pas justifier à eux seuls une conclusion immigrationiste inéluctable. Une immigration justifiée peut être acceptée même coûteuse, celle des familles ukrainiennes n’a pas fait débat. L’expert taira l’opinion populaire. Populiste ? Que pèse l’aspect financier face aux conséquences sociologiques quand les populations communautarisées s’ignorent ou se haïssent (Balkans) ?
« Les populations dilatent notre économie et permet à nombre de natifs d’échapper aux emplois les plus durs » nous dit le démographe, une analyse court termiste qui ne vaut qu’un temps puisque leurs descendants refusent ces emplois aussi, il faudrait donc actionner cette pompe à main d’œuvre jusqu’à quand ? De meilleures conditions d’emplois seraient préférables, clamait le PCF de Georges Marchais dès 1980 qui voulait stopper l’immigration.
F. Héran expose que pour « L’OCDE les flux migratoires n’ont rien de massif en France, c’est leur accumulation au fil du temps qui finit par produire un changement massif », il parle « d’infusion durable qui finit par modifier les origines de la population » et cite l’ONU qui a compté « 4% de personnes vivants à l’étranger sur les 7,5 milliards d’habitants », un chiffre censé démontrer que l’immigration est insignifiante, quand chacun comprendra qu’il ne veut rien dire sans son détail. Combien parmi ceux-là s’installent, au Japon, en Russie, Chine, Arabie-Saoudite, Algérie, Afghanistan… A comparer aux 24% d’immigrés de 2018 en France qu’il cite comme vu plus haut. « ... les femmes migrent pour échapper à la domination masculine, aux mariages précoces, à l’excision », il a oublié circoncision. Il dénonce « le fait que les femmes qui doivent passer par le canal du regroupement familial est une entrave à leur accès au marché du travail », comprenez toujours en France.
Une argumentation à charge contre les modèles des pays sous-développés justifiant de bonnes raisons d’immigrer conjuguée à de bonnes raisons humanistes pour accepter l’immigration. Si ces motifs sont admis pour les uns, pourquoi ne le seraient-ils pas pour tous ? Quels critères pourraient-ils avancer pour l’interdire à un seul volontaire migrant ? Se contredisant ici, il prétend que « ce ne sont pas les plus pauvres qui migrent le plus (1), Michel Rocard s’imaginait que toute la misère du monde risquait de s’inviter en France » une citation falsifiée pour les besoins de sa cause. Avec « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde... » Michel Rocard devançait de quelques jours François Mitterrand pour qui « le seuil de tolérance des Français à l'égard des étrangers a été atteint dans les années 70 », des populistes, fascistes, néonazis ?
Michel Rocard ne devait pas savoir que « Seule une minorité des populations du sud cherchent à migrer au nord et pas la plus misérable (F. Héran) », les caractéristiques du migrant du sud vu par le démographe se précisent ; « pas le plus misérable… les femmes voulant échapper à la domination masculine … permet aux natifs d’échapper aux emplois les plus durs ».
A contrario de ses chiffres de 2013 (La part des migrants du Maghreb et des autres pays d’Afrique a encore explosé avec 45% des migrant), il explique que « L’Afrique subsaharienne fait partie des régions du monde qui migrent le moins (très en deçà du Maghreb), principalement dans les autres pays d’Afrique et quand c’est ailleurs (Europe) il s’agit d’une immigration très sélective. »
Avec ces données, l’ONU et le démographe devinent que « la population africaine passera de 640 millions (2018) à 2,1 milliards (2050) et que l’immigration passeraient de 6 à 34 millions. Pour le FMI il n’y aura pas pour autant de submersion africaine, leur raison d’immigrer étant les mêmes que le reste du monde. »
Le FMI applique les données de l’ONU et projette que leur part dans ces pays passerait de 0,4% à 2,4%. On se rappellera (cf. plus haut) que les démographes ne considèrent pas la 2e génération comme immigrée. Des informations qui ne nous renseignent donc jamais sur le taux cumulé des populations immigrées sur 30 ou 50 ans, elles permettraient pourtant de répondre à sa question « Immigration de remplacement ou de peuplement ? ».
Concernant les actions à mener, on retrouve les lieux communs et les leitmotivs sans effets, « lutter contre le changement climatique, éduquer les femmes, reculer l’âge du mariage, espacer les naissances ». Faire ce constat sans dire comment s’y prendre est un coup d’épée dans l’eau.
Qui va prendre son bâton de pèlerin pour distribuer des pilules dans ces tribus ou le kahungo, maladie qui fait suite à une fausse couche, fait tomber la femme dans un grand état d’impureté, avec toux et perte de poids. L’une des manières d’attraper la maladie consistant à marcher sur la tombe du fœtus…
Autre moyen de convaincre les derniers récalcitrants ; juridique.
La déclaration des droits de l’Homme stipule que « toute personne a le droit de quitter son pays et d’y revenir », quand aucun texte n’autorise quiconque à aller dans le pays de son choix. Une anomalie pour les partisans du droit universel à la mobilité, cette vieille idéologie passée même pour Régis Debray. Cherchant une référence pour justifier le contraire, Héran intrépide, ose et cite « l’ouvrage monumental et magnifique de Grotius un juriste du XVIIe s… » dont le traité évoquait sa perception du droit « nul n’est contraint de demeurer membre d’un Etat malgré lui, chacun est libre de choisir l’Etat dont il veut devenir membre ». F. Héran regrettera que des conditions soient venues entamer cette belle liberté avec le Pacte international signé à New-York en 1966 avec une liste d’attendus restrictifs. Inarrêtable, Héran appelle JJ Rousseau d’accord avec Grotius, à la barre des libertés, aussi Hirschman qui ponctue la tirade « un droit qui vous est octroyé sans liberté de choix est vidé de son sens ». Fin des débats. Sa présentation du droit des uns sans évoquer celui des autres, nous conforte sur les convictions du théoricien démographe.
Il regrettera l’immigration vénézuélienne avec 58% de diplômés du supérieur qui a vidé le pays de ses cerveaux, mais ne commentera pas celle de la Tunisie. Au passage seront égratignés « ceux qui obtiendront plus facilement un visa au motif qu’il serait riche, européen ou chrétien ». Il n’a pas osé blanc, mâle et père de famille. Il aborde ensuite l’expérience qui pourrait être faite de l’ouverture des frontières pour en mesure les effets, mais il n’existe aucun consensus pour cela regrette-t-il. « Les uns redoutent des réactions identitaires incontrôlables et le déferlement de toute la misère du monde dont nous avons vu le caractère improbable, et les autres espèrent que les frontières ouvertes libèreront la croissance des pays d’origine en profitant aux pays de destination » Le professeur démographe oublie ici ce qu’il disait un peu plus tôt, comment peut-il regretter qu’un pays soit vidé de ses cerveaux et prôner l’ouverture des frontières dont on en connait les conséquences avec les médecins migrants des pays du Maghreb ?
Il serait possible de révéler encore plus les arguties de l’impétrant enfermé dans sa perception à sens unique de l’immigration, sans aucune mesure des conséquences d'un humanisme de salon, conforté avec des chiffres indiscutables et des pourcentages spécieux adaptés aux besoins de son opinion.
Comment l’Europe peut-elle avoir une politique migratoire uniforme avec des quotas de répartition des migrants (règlement de Dublin), quand l’Allemagne irresponsable, en péril démographique depuis 1970 (croissance, équilibre des comptes sociaux…) impose à l’UE son million de migrants qui seront libres de circuler dans l’UE, une France incapable de gérer son immigration qui est à l’équilibre démographique et des pays de l’est européens qui veulent choisir leur avenir religieux et démographique ?
L’Allemagne est lourdement responsable du problème migratoire, comme avec ses routes et ses ponts, elle attend le péril pour s’en occuper. Avec le financement allemand des ONG crapuleuses qui vivent du trafic migratoire en méditerranée, le cimetière méditerranéen qu’elles provoquent, la Deutsch-coupe est pleine.
Ajouter les crises migratoires grecques et italiennes que l’UE sous-traite au pays d’arrivée des migrants (toujours règlement de Dublin) et en quelques traits la révolution politique européenne en cours se dessine avec une progression de « l’extrême-droite, des populistes, des néo-nazis … » sans autre raison qu’une cause migratoire que la gauche extrémiste dénie.
Nos constitutions et celle de la France, sclérosent un débat qui est devenu ridicule ; « on est pour ou contre l’immigration ». L’abject idiot de service lfiste avait illustré cet aphorisme en exploitant la photo du petit corps noyé d’un migrant sur une plage. Provocateur, Caron qui « n’a pas le monopole du cœur » entendait culpabiliser ceux qui n’auraient pas partagé sa posture simpliste. Il illustre le fossé qui sépare les exploitants de la misère pour leur compte électoral, quand des millions d’occidentaux mesurent le fossé communautaire qui ne présage rien de bon.
Pendant ce temps, les pays les plus développés enregistrent les baisses démographiques les plus fortes. Corée du sud, Japon – moins 30% de sa population en 2100- et n'ont pas recours à l'immigration pour en traiter les conséquences. La Chine est revenue de sa politique de l'enfant unique et commence à parler d'augmenter l'âge de la retraite comme dans presque tous les pays riches Danemark 69 ans en 2035, Belgique 67 en 2030, Espagne 67 en 2027...
Ces pays ont choisi entre une immigration de substitution pour palier leur déficience démographique et l'augmentation de l'âge de la retraite qu'ils ont préférée.
Des égoïsmes se sont développés en Allemagne notamment avec des résidences sans enfants, ces personnes préférant profiter de leurs ressources sans partager avec une descendance, ni contribuer à l'effort intergénérationnel.
Les chinois après la fin de la période de l'enfant unique n'ont pas retrouvé le taux de fécondité d'avant, pendant que les Indiens ont retenu une méthode plus agressive de stérilisation femme et homme.
Les populations les plus pauvres étant ciblées dans les pays qui ont fait ce choix, comme l'Ouzbékistan aussi (pays musulman), la stérilisation contrainte est la méthode la plus populaire dans les pays en développement et le moyen de contrôler les naissances le plus utilisé dans le monde (ONU/2011).
Encourager l’immigration est une voie vers la surpopulation mondiale. La terre a mis 4,5 milliards d’années pour se couvrir de 2,5 milliards d’individus (1950), en moins d’un siècle ce nombre a doublé, quand le déficit hydrique global sera de 40 % dès 2030, trois habitants sur quatre dans les pays arabes vivent déjà en dessous du seuil de pénurie, 750 millions de personne vivent sans eau potable, 2,5 milliards n’ont pas de toilettes, les ressources souterraines en eau s’épuisent, les ressources naturelles aussi, près de 10 % de la population mondiale souffre de la faim …
De l'opinion du démographe du Collège, on retiendra ce qu'il n'a pas pu taire sans nous en livrer les chiffres « ... en France l'accumulation des flux migratoires finit par produire un changement massif... qui finit par modifier les origines de la population ». Tiens tiens, alors Bouard qui a raison, Hérant ou vous ?
Ces partisans de la dénationalisation de la France ne manquent pas une occasion pour rappeler le motif colonialiste, et donnent par là l'occasion de rappeler ce qu'étaient les barbaresques esclavagistes d'Alger ... Un million d’esclaves blancs passés sous silence, et l’Algérie réclame réparation après la colonisation. - L'apostilleur (over-blog.com)
Nota : Sans consulter le peuple européen, la Cour de justice de l'Union européenne a décidé le 4 octobre dernier que « toute femme afghane peut prétendre au statut de réfugié par la seule prise en considération de sa nationalité et de son sexe est suffisante. On ne comprendrait pas que le regroupement familiale soit exclus de la mesure.
1- F. Héran s’inspire probablement du site des Nations Unies qui dans sa présentation « Soutenons les migrants dans la réalisation de leurs rêves » évoque le profil d’une migrante avec cette jeune fille qui « veux vivre en Finlande et être médecin ou dentiste », qui a vécu dans des camps de réfugiés et de migrants en Turquie, en Grèce ou encore en Bosnie-Herzégovine. Elle parle cinq langues, fait de la peinture et a les meilleures notes à l'école. ©Unicef/Vladimir Zivojinovic.
2- La Cour des comptes chiffrait le coût de l’immigration à 6,6 milliards d’euros en 2019
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