Commentaire de Eric F
sur Israël un an après : les limites de la loi du plus fort
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@Iris
Je m’associe à votre remarque, l’auteur montre comment la surréaction à un acte horrible conduit à des massacres et destructions plus horribles par leur démesure. La qualification de génocide peut être employée lorsqu’il y a l’intention de faire disparaitre par la terreur une population, comme certains ministres israéliens y poussent. Lorsqu’une situation suscite la haine, on peut éradiquer temporairement une organisation ou des milices, mais d’autres se renforceront et prendront le relai.
Pas d’autre option qu’une paix où chacun des deux peuples ait un ’’foyer national’’, avec reconnaissance mutuelle ; Cela a été à deux doigts d’aboutir au début des années 2000 avec les accords de Camp David/Taba, mais les ultra ont fait capoter.
Ce que peut faire la France et plus largement l’ensemble des pays d’Europe, c’est de reconnaitre l’état palestinien comme une entité légale, sur la base de la délimitation de l’armistice de 1949. Certains pays du continent l’ont fait, récemment l’Espagne, l’Irlande et la Norvège les ont rejoint, qu’attendons-nous ?
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