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Commentaire de Hervé Hum

sur Etre démocrate, c'est quoi ?


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Hervé Hum Hervé Hum 16 octobre 09:55

@Réflexions du Miroir

Je ne suis pas certains que vous soyez un « adepte » de ma vision, car celle-ci se fonde sur le principe de causalité tel que je le connait et celui-ci me dit que Dieu existe, car il est impossible d’expliquer l’Univers physique sans lui.

De mon point de vue (en respect du principe de causalité) l’être en tant que tel n’a ni commencement, ni fin et la notion de lieu n’a pas de sens. L’Univers « EST ». c’est un fait avéré par le fiat que nous existons nous même et le nier, revient à nier le fait de sa propre existence. On peut nier que cela ait du sens et c’est ma définition du néant, mais pas nier le fait de sa présence.

C’est l’état de conscience d’être que nous connaissons tous !

Les notions d’espace et de temps (l’un n’existe pas sans l’autre) prennent forme qu’avec le principe de causalité, qui repose sur ses propres fondements où même un Dieu tout puissant a de choix que de s’y soumettre ou de renoncer à la réalité, qui existe donc que via la causalité et elle seule. Ici, la causalité doit être vu comme l’outil nécessaire à l’être pour atteindre le but qu’il s’est fixé. Car sans outil, l’être ne peut pas atteindre un but quelconque, c’est impossible ! Autrement dit, la fin ne justifie pas les moyens (sauf s’il y a le choix entre plusieurs) mais les nécessites.

Comme écrit plus haut, c’est le sens de la relation entre l’imaginaire et la réalité qui’il faut observer. Ainsi, lorsque vous avez un problème à résoudre dans la réalité vous allez dans votre imaginaire pour explorer toutes les solutions que votre imaginaire vous permet d’explorer et où vous devrez faire le tri entre ce qui est réalisable et ce qui ne l’est pas.

Mais c’est toujours la réalité qui s’imposera à la fin, sauf si vous décidez de rester confiné dans votre imaginaire et risquez alors de finir dans un asile de fous ! Ou pour l’humanité actuelle de vouloir conserver la primauté de la souveraineté et de se lamenter que le droit international ne soit pas appliqué, alors que la causalité dit que la loi étant toujours celle du plus fort, si la force n’est pas au service du droit, alors, ce dernier est caduque, vide. Mais ce n’est pas la faute au droit définie, seulement au fait que la force d’application soit détenu par les justiciables eux mêmes, donc, où le condamné doit se rendre de lui même en prison. ABSURDE !!!

Mais ce que m’enseigne le principe de causalité tel que je le connait est contraire à ce que dit le principe tel que vous le connaissez, c’est à dire, disant que Dieu n’existe pas. Le principe tel que je le connait affirme le contraire sans l’ombre d’un doute et avec la preuve logique qui défie toute réfutation (il y en a une infinité !).

Bref, l’imaginaire existe véritablement, ce n’est pas seulement un concept abstrait, virtuel, c’est la partie duale de la réalité où cette dernière permet d’y accéder dans une certaine mesure. Autrement dit, la réalité est la partie de l’imaginaire doté de bornes ou limites définies par le sens, donc, par la logique causale et elle seule.

Bon ; j’aurai pu, peut être dû écrire un livre sur le sujet, mais quelque chose m’en empêche et il me faudra bien finir par l’affronter...


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