@Réflexions du Miroir
Vous avez choisi de ne pas répondre à la question posé !
Sinon, le ruban de Mobius n’a rien de « magique » !
S’il y a qu’une seule face, c’est qu’on a opéré un demi tour au ruban pour faire se rejoindre les deux faces opposés. Maintenant, si vous opérez une demi torsion supplémentaire, vous vous retrouvez avec deux faces séparés.
Et en se faisant se rejoindre les deux faces, la distance nécessaire pour faire un tour complet est alors aussi le double !
Au niveau des forces, c’est le même principe qui veut que pour diviser par deux l’effort nécessaire à soulever un poids, il faut multiplier la distance par deux.
Voyez, un principe est fondamentalement (dans ses conditions d’existences) invariant quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, seule sa forme change.
Et entre un ruban de Mobius et une poulie, le domaine n’ont plus rien à voir, mais le principe s’applique de la même manière.
Cette loi d’invariance (la seconde de mon point de vue du principe de causalité) permet de comprendre l’Univers bien au delà de ce que le mode de pensée actuel l’autorise, parce que vous avez définie des constances logiques qui permettent de corriger tous les biais dû au mode de pensée dominant.
Ainsi, si vous l’appliquez au principe de souveraineté, cela vous permet de mettre en évidence l’aporie du raisonnement voulant à la fois « en même temps » déclarer la souveraineté des nations et celui des individus. Vous ne pouvez pas les avoir « en même temps », soit vous posez la souveraineté en ordre premier et qui est toujours celle du « petit nombre qui fait travailler le grand, est nourri par lui et le gouverne » (Voltaire), soit vous placez les droits des individus en premier et alors, la souveraineté devient un ordre secondaire qui vaut pour la culture, la langue, la religion, mais plus pour définir les droits fondamentaux.
Je pense que je vais produire un article pour illustrer cela....