@Réflexions du Miroir
je suis allé voir le billet où vous mentionnez mon nom et de
constater qu’il y a confusion. Je ne vous ait pas « ri au nez », sur
l’idée d’une IA pour gouvernance, mais d’un ordinateur quantique.
Bref, je vote aussi pour l’IA non pour gouverner à la destiné
humaine, mais comme outil de gouvernance où la seule question est comme
vous le soulignez, les moyens de contrôle de sa programmation. De mon
point de vue, une IA pour fonctionner doit toujours définir un ordre
premier, directeur, si l’humain ne le lui spécifie pas de manière
absolue, qu’il lui « laisse le choix » en fonction de l’évolution de sa
base de donnée qui n’est pas fixe et connue à l’avance, puisque le
principe est d’intégrer toujours plus de données, alors, c’est le sens
de cette évolution en fonction de l’algorithme qui servira à l’IA pour
déterminer l’ordre premier. Qui pourra évoluer selon l’évolution de la
base de donnée. Ainsi, des programmeurs s’étonnaient que l’IA ait
désobéit à un ordre dont ils ont eux même dit à l’IA qu’il pouvait le
faire !
Quant à la question existentielle, je vous écris que j’ai déjà trouvé
une réponse élémentaire et qui est donnée par la réponse à la question
que je vous ait posé et pour laquelle vous ne répondez pas encore !
Quant à savoir si « la réalité existe ? » cela revient à se poser la
question de savoir si soi même on existe ! Ce qui relève de l’absurde.
Philip K Dick, celui qui a écrit notamme Blade runner disait « la
réalité, c’est tout ce qui refuse de disparaître lorsqu’on cesse d’y
croire ».
c’est à dire, tout ce qui obéit à la causalité et non pas à l’être,
ce dernier étant maître de la causalité que dans son seul imaginaire ! Tout l’art étant alors dans la capacité à manipuler l’imaginaire collectif. Ce qu’on appelle aujourd’hui « le narratif ».