@Jean Keim
je vais jouer encore le jeu par respect pour votre courtoisie
Je fatigue d’une discussion faites plusieurs fois et qui tourne en rond dans un dialogue de sourd et que vous persistez à refaire, alors même que vous dites que cela ne sert à rien !
Si on applique strictement ce que vous écrivez, le monde tel que nous le connaissons ne pourrait pas exister, enfermé dans nos ’« modes de pensés ». Comme il évolue malgré tout, il faut bien admettre que quelque chose permet à nos modes de pensé d’évoluer.
je ne vais pas faire un trop long développement, puisque cela ne servira sans doute à rien, mais je vais en faire un petit tout de même.
Vous commencez votre commentaire par dire que vous reconnaissez « l’évidence » du principe de causalité en disant que c’est même lui qui nous enferme dans notre « mode de pensé. Je vous renvoi à cet article, que vous aviez lu, puisque vous y aviez posté un commentaire. Il reprends le fait que le cerveau humain utilise le déni comme moyen pour sursoir à ses propres règles lorsqu’elles sont en conflit avec disons ses pulsions qu’on ne veut ou peut contrôler. Cela vaut pour tout le monde, moi le premier. Cela s’applique tout autant a sa croyance lorsqu’elle est confronté à des faits contraires ou ici même, lorsque l’auteur s’est persuadé que ce qu’il dit est la vérité et ni les arguments d’autrui qui mettent à mal sa conviction.
Par exemple, il dit que Einstein n’admettait pas de se remettre en question, or, je lui donne des éléments factuels qui montre le contraire en m’en tenant aux propos d’Einstein lui même, mais sous condition, que cela soit explicable rationnellement, qui obéit au principe de causalité et non dans dans la spéculation où c’est alors chacun qui fait sa propre théorie selon comme vous dites son mode de pensé ou pour moi, son imaginaire. Et comme il ne veut pas remettre en question son propre jugement, il tombe alors sous le coup de son propre avertissement de ne pas se laisser enfermer par sa propre croyance. et comme il ne saurait le reconnaître, persiste dans son propre déni où il n’y a plus qu’un seul argument, l’autorité qu’il se confère à lui même.
Bref, dans l’état actuel de la connaissance, il n’y a pas de mode de pensé collectif des scientifiques qui sont spécialisés dans la mécanique quantique qui explique le phénomène sur la base du seul principe de causalité, parce que le mode de pensé collectif et qui est la théorie dites »standard", ne donne pas de réponse, se contentant de déduire les équations mathématiques des observations faites et qui ont obligés la communauté scientifique à se remettre en question et à défaut de pouvoir revoir son mode de pensé, de revoir toutes ses équations mathématiques pour décrire le monde quantique jusqu’alors inconnu.
Mais tous ont bien conscience de la nécessité de revoir le mode de pensée collectif pour expliquer les phénomènes observés. La remarque d’Einstein s’est donc avéré exacte !
Donc, une discussion portant sur la réalité peut avoir comme référentiel neutre ou arbitre, que le principe de causalité et lui seul. Si vous considérez votre mode de pensé ou pour moi imaginaire comme le seul référentiel, toute discussion est inutile, car chacun ayant son propre référentiel, soit il l’abandonne pour celui de l’autre, soit il s’y tient et chacun reste comme vous l’écrivez justement enfermé dans son propre mode de pensé.
Encore une fois, la raison d’être du principe de causalité et de la réalité physique est de permettre à tous les imaginaires de communiquer et de partager un même lieu d’expérience, sans cela et je le répète, je suis entièrement d’accord avec vous, chacun est prisonnier de son mode de pensé ou plutôt imaginaire, mais ne peut dès lors plus communiquer, partager avec autrui. Cet ainsi que l’auteur à clos la discussion ou moi avec vous.
Ici, ce que je n’explique pas volontairement, car je laisse à chacun le soin de faire se travail, c’est la conséquence directe de ce que cela implique. Mais vous pouvez vérifier avec autant d’expérience que vous voulez, dans tous les domaines et à n’importe quelle échelle la validité de cette assertion qui comme le dit justement l’auteur, se base sur des des faits.
Ce n’est pas le principe de causalité tel que je le connait qui est insuffisant, mais peut être ma capacité à l’accepter dans toutes ses conséquences et à le communiquer. D’où mon refus de donner le développement nécessaire aux autres et m’en tenir à seulement le présenter.
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