@Giordano Bruno
Ce que j’écris là est parfaitement documenté. Seulement, il y a un gros travail de mise en perspective.
J’ai écrit un article sur le sujet que j’ai proposé à la modération, et qui a été rejeté ! L’article contenait toutes les références. Il y a des points de vue qui ne peuvent pas être exprimés puisqu’ils vont à l’encontre d’intérêts trop importants.
Alors, si vous voulez regarder « comment » la pollution atmosphérique agresse les voies respiratoires, provoque des maladies, pas seulement respiratoires mais aussi « cardio-vasculaires », vous trouverez facilement ce genre de documentation.
Je vais peut être écrire un nouvel article, mais, compte tenu du rejet possible de ce genre de sujet, j’hésite à le faire parce que cela demande un investissement en temps important. Et j’ai bien d’autres activités.
Ce que j’écris là, et ici, c’est simplement pour, peut être, et modestement, venir en aide à ceux qui voudraient mieux se protéger des maladies respiratoires. Pour cela, il faut faire appel à tous les anti-oxydants « assimilables » par l’organisme. Nous tombons malades parce que l’équilibre « redox » est rompu dans les voies respiratoires, la ventilation nécessaire à la vie s’effectue mal, ou plus du tout, et c’est la détresse respiratoire au bout du chemin, associée, souvent, à une pneumonie. les personnes dites « sensibles » meurent de ça et pas d’autre chose : une déficience respiratoire due à un déséquilibre « redox » à la suite d’une activation importe des macrophages et des neutrophiles dans l’environnement alvéolaire. Un système anti-oxydant diminué (pour des raisons maintenant connues) ne parvient plus à rétablir l’équilibre redox et les personnes sensibles finissent leur course en réanimation. Quand il ne s’agit pas d’un dysfonctionnement cardio-vasculaire.
Pour vous mettre en appétit :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33992684/