Bonjour,
Beaucoup d’étrangeté dans votre article, pour ne pas dire des incohérences, laissant transparaître votre partialité sous le couvert d’une mise au point informationnelle du conflit.
Le seule chose ou je suis presque d’accord avec vous est le terme « génocide » qui ne me semble pas approprié à mon sens littéralement parlant. Une « guerre » hélas n’est pas sans faire des morts sur la population civile, l’arrivée des Alliés sur notre territoire en est fortement émaillée. Les fameux dégâts collatéraux et c’est bien de ça dont il s’agit et pas d’autres choses.
Une organisation terroriste peut elle être considérée comme une armée contre laquelle ont peut faire la guerre, une guerre conventionnelle, un véritable affrontement de guerrier à guerrier !
Non hélas, l’histoire le prouve, de surcroit quant cette organisation est intimement mêlée dans une population consentante ou non, n’étant pas « gazaouis » je ne peux l’affirmer, ni l’infirmer, l’affaire s’en trouve considérablement plus compliquée, outre le fait, qu’il est difficile aussi de tuer une « idéologie ».
Je vais volontairement passer outre les origines pour rester sur le plan du théâtre des opérations, car c’est bien là ou est le problème et ce qui choque.
Le Hamas est présent à Gaza, il est partout, difficilement identifiable et préparé depuis de nombreuses années, dans un espace géographique, cerné de toute part, qui n’est autre en fait qu’une souricière géante ou nul ne peux s’échapper à la finale.
Depuis le début il est ordonné à la population de se déplacer géographiquement dans la souricière pour laisser la foudre s’appliquer. Alors elle va au Nord, puis au Sud, puis, à l’ouest, puis revient au Sud, va à l’Est, etc..
Un déplacement incessant pendant lesquels les bombes tombent sans trop de distinction, le « chirurgical » du début n’étant plus de mise.
En fait la population ne peux se soustraire physiquement à la vengeance de l’état d’Israël, empêchée par ce dernier, qui affirme que des membres du Hamas sont mêlé à eux.
Nous avons donc des milliers de gens, qui errent dans une souricière en ruine, j’insiste, toujours bombardée au gré d’informations détenues par l’état d’Israël sur la présence de membre du Hamas, dans tel ou tel camp de réfugié, école, hôpital, cave, etc..
Les conflits ont toujours vu naître des déplacements massifs de population, s’enfuyant loin des combats, dans d’autre Pays, voisins, mais pas là. C’est là toute différence, qui finalement fait naître le doute sur les intentions réelles.
N’ayons pas peur de dire que la « vengeance » qui s’exerce est quand même aveugle teinté d’une hypocrisie assez forte.
Mais nous les avons prévenus ! Entends on. Oui, mais je vais ou ?
Voilà ce qui scandalise et pas autre chose, la façon dont elle s’exerce. Une population tourne en rond sous les bombes, avec toutes les difficultés de survivances qui vont avec.
Après chacun est libre d’envisager les conséquences, une fois l’affaire terminée, faut-il encore qu’elle se termine et comment.