@Eric F

Votre commentaire se veut mesuré et raisonnable. Sur ce que je connais de vous ici même, je ne :met pas votre sincérité en doute, mais votre indulgence quelque peu limite.

Par exemple, le fait est suffisamment établit pour dire que Netanyahu à pour le moins laissé se perpétrer les attaques, mais il est plus évident qu’ils les a encouragés.

Autrement dit, on ne saurait reprocher à Netanyahu de ne pas avoir su « empêché l’attaque du 7 Octobre », alors même qu’ils les as pour le moins laissé faire volontairement et plus sûrement encouragés et attendu depuis longtemps.

Faut être cohérent, soit vous admettez un fait, soit vous le niez comme de dire qu’il n’aurait pas su arrêter ce qu’il attendait qu’il arrive. C’est absurde dans la réalité, sauf dans l’imaginaire, mais vous y êtes le seul maître.

Quand on a un récit tout prêt à être servi comme les bébés dans les four pour bien impacter l’imaginaire dans la relation avec les fours crématoires des camps nazis et donc, invoquer la Shoah, si c’est pas de la perversité absolue, c’est quoi selon vous ?

Les nazis en leur temps n’ont ils pas fait pareil ? Ne sont ils pas un exemple, même si les exemples ne manquent pas dans le passé ?

Si vous voulez avoir la mémoire sélective, libre à vous.

Ce qui implique que je ne suis pas aveugle sur la responsabilité pleine et entière des chefs du Hamas dans ce qui arrive à la population civile de Gaza. Ce sont des terroristes génocidaires et le pire, c’est qu’ils ont eux même mis en jeu le génocide de leur propre peuple. Appliquant le principe de « pas de quartier » et d’en attendre comme réponse « le quartier ne sera pas accordé ». Sachant que « quartier », veut dire hébergement, donc, de rester.

 Mais un peuple comporte toujours une majorité d’êtres voulant vivre en paix avec son voisin. Sauf lorsqu’il est manipulé et poussé dans l’abyme.

Ce qui est vrai pour les palestiniens, est vrai pour les israéliens ou tout autre peuple.

Bref, tant que chaque peuple soutiendra des chefs de nature prédatrices, il devra en accepter le prix.