@Suite
Je suis toujours circonspect sur les « écrits » historiques, les échanges entre personnalités, surtout lorsqu’ils sont réalisés par des « politiques » ou personnalités nantis de « pouvoir ».
Bien sûr qu’il y a un fond, mais ils sont tous plus ou moins toujours empreint d’un certain ménagement ou préservation de ses intérêts, sans froisser l’autre. « La chèvre et le choux » pour reprendre l’expression connue.
Ce qui peut conduire à postériori, à une interprétation possible, car réalisée hors contexte. Or le contexte considéré était particulièrement trouble. J’ai bien du mal à me projeter dans les arcanes politiques de l’époque n’en doutons pas assez diaboliques, ou perfidies et hypocrisies était de mise.
Entre accords « secrets » et autres, les dits et non dits, d’où parfois la difficulté de l’historien de relater les faits, car sa partialité peut être mise à mal, sans le vouloir.
En tout cas, c’est plaisant, car sans tout remettre en cause, cela fait ressurgir le « questionnement » des acquis. Il est évident que l’histoire est composée de ce qui nous est enseigné, et de ce qui ne l’est pas.