@titi : Marx ne décrit même pas l’Angleterre en 1850... il ne décrit rien du tout... Il décrit la toile d’araignée qu’il y avait dans son cerveau fiévreux... Il aurait mieux fait d’être romancier, avec une telle capacité de travail et d’imagination... Mais comme économiste il ne vaut pas un radis... Il y a au XIXème siècle assez d’éminents économistes pour ne pas être obligé de se farcir les fadaises de M. Charles Marx...
Le marxisme ne survit que parce-qu’il permet d’entretenir la religion socialiste en lui donnant des bases pseudo-scientifique... Le socialisme joue un rôle religieux en Occident, suite à l’apostasie massive du Christianisme. Une bonne partie des apostats s’est dirigée vers le socialisme, qui se veut « positif ». Il y a les apostasies plus ouvertement « négatives » (fascisme, nihilisme, etc.). Maintenir les piliers de l’utopie socialiste est donc existentiel à la vie religieuse de l’Occident athée. On maintient donc les fariboles de Marx.
Quand on a rompu (volontairement ou involontairement) avec le Christ qui nous ouvrait les portes de la transcendance et d’une autre compréhension du destin de l’homme, il est difficile de vivre. La nécessité de transcender l’ici-bas ne disparaît pas. Les libéraux et modérés peuvent trouver cela dans l’art, l’entreprise, l’amour, l’amitié, la libre spiritualité, le christianisme libéral, etc. Pour les radicaux et les absolutistes, il faut soit purifier le monde en le menant à la perfection terrestre (socialistes) soit purifier le monde par le mal (fascisme, nihilisme, etc). Reste la possibilité de renouer avec la voie et l’explication qu’offrait le Christ au monde tel qu’il s’offre à notre entendement ici-bas, mais combien le font ou peuvent le faire ?