Vous avez dit « corps quantique » ?
Quitte à mettre les théories quantiques à toutes les sauces, je vous propose la mienne. Je pars de l’hypothèse que la dualité particule/onde n’existe pas, les propriétés supposées ondulatoires d’une particule observée de très près, disons à une distance atomique, ne sont qu’un effet d’une caractéristique cachée des 4 dimensions curvilignes, [t,x,y,z], structurant l’Univers. Mettez la ceinture !
Chaque ligne d’univers est en fait à considérer comme la courbe axiale d’un fin cylindre de rayon de l’ordre du quantum de Planck, un espace bidimensionnel dans lequel se déplacent effectivement les particules.
Au total on a affaire à un espace quadridimensionnel dont chaque dimension serait un couple formé par deux nombres, un nombre réel et un nombre imaginaire, un nombre que les mathématiciens appellent « nombre complexe ». Cet « espace complexe », [t+it’,x+ix’,y+iy’,z+iz’], peut être vu comme l’ensemble de deux espaces conjugués, un « univers réel », [t,x,y,z] et un « univers imaginaire », [t’,x’,y’,z’]. Le premier étant celui que l’on connait déjà, le monde de la matière/énergie, et le second pouvant être vu comme le monde de l’imaginaire/information.
Comme le cygne contemplant son reflet dans les vaguelettes d’un plan d’eau.
Et voilà. C’est tout.
C’est tout ? Et la mécanique quantique dans tout ça ?
Voyons voir ...