@riemann66
Voyons voir, donc.
Quand on observe de loin une particule se déplaçant le long d’une dimension on ne voit qu’une courbe continue bien sage, mais quand on s’approche de très près on découvre qu’elle décrit en fait une hélice s’enroulant autour de ce cylindre, dont le rayon et l’angle par rapport à l’axe révèlent des caractéristiques ondulatoires comme l’amplitude, la fréquence et la phase, tous les ingrédients utilisés par les théories quantiques classiques pour construire pas à pas une « table de Mendéléev » des particules et de leurs interactions. On peut imaginer que les dizaines de particules théorisées et observées, photons, électrons, neutrons, neutrinos, ..., classées en fermions, bosons, ..., ne sont que les caractéristiques différentes (rayon & angle) d’une unique particule, une particule universelle se déplaçant hélicoïdalement dans un espace-temps complexe. Une particule réduite à un pli de l’espace-temps. Une propriété de l’espace-temps.
On peut imaginer que le monde imaginaire contienne la mémoire des informations traitées dans le monde réel par des « êtres vivants », plantes, animaux, humains’, ..., dont la seule finalité serait de maintenir constante l’entropie du monde matériel en créant de la néguentropie. La constante pouvant être égale à zéro. Signature du vide.
Et quand le cygne plonge dans l’eau tout disparaît. Tout n’est qu’illusion.
Voilà donc une autre façon de jouer avec « le quantique ».
Et on peut explorer pas mal de choses avec, par exemple :
— http://lambdaway.fr/workshop/?view=noosphere
— http://lambdaway.fr/workshop/?view=relativite_complexe
Ah oui, j’oubliais. Il ne s’agit que d’une expérience de pensée que j’ai envie de partager avec vous. Si vous avez du temps.
Cordialement.