dans les années 1970, la gauche soutenait les pédocriminels et les braqueurs parce-que c’était des « victimes de la société »... eh oui... c’était l’époque où les braqueurs « anarchistes » étaient à la mode... une espèce d’ordure butait un flic, un commerçant et volait de l’argent, et les militants de gauche disaient : « non, non, non à la répression bourgeoise »... Et ensuite Le Monde et Libération rassemblaient des pétitions « d’intellectuels » pour promouvoir la légalisation de la pédocriminalité car il fallait lutter contre les idées-reçues du patriarcat catholique oppressif.
Mais la gauche ne se contentait pas de soutenir les gangster, les dealers, les violeurs et les assassins. Elle soutenait également les génocideurs du NKVD, de Mao et de Pol-Pot. Car il était très humaniste et révolutionnaire de zigouiller la moitié de son peuple au nom du progrès. Dans les campus universitaires avant-gardistes, entre deux conférences de Sartre et Vergès, on acclamait les camps de concentration et les charniers marxistes. Les tueurs étaient de véritables « saints » de l’évangile marxiste.
Et ça continue. Dès le 7 octobre, les masses de gauche sont entrées en transe sanguinaire. Chaque militant acclamait les viols, les meurtres et les tortures de Juifs. Le HAMAS était le nouvel NKVD. Et Mahomet est le nouveau Lénine. Dans les campus universitaires, les étudiants à la mode sont antisémites et racistes. On brûle des oeuvres d’art et on censure des intellectuels.
Le pauvre Ruffin a essayé de faire « l’union des tours et des bourgs » et a dénoncé le racisme anti-blanc notoire de Mélenchon. Mais la Fête de l’Huma a préféré le grand bourgeois impérialiste antisémite Villepin. Et la gauche ne trouve rien de mieux qu’à s’enflammer pour le vulgaire tueur Abdallah comme jadis pour le gangster Carlos