@Et hop !
< étoile >
L’étoile représentée dans l’artice est particulière par son ancienneté (une poignée de millénaires) et par sa forme qui combine deux mythes de l’Indus :
La Création de l’humanité, par la combinaison des deux triangles représentant deux divinités masculine et féminine,
La représentation du lien entre l’âme individuelle (chaque perle) et l’âme universelle.
La Bactriane (lieu de naissance du Zoroastrisme) est la contrée qui jouxte l’Indus, au nord. Il se trouve qu’ils ont adopté cette étoile pour représenter les six ’’Valeurs’’ essentielles de Dieu. Du centre de l’étoile était censé émanner la Lumière divine.
Et puis, avec les siècles, l’étoile s’est baladée. Elle a été reprise ici ou là comme simple motif décoratif, sans Mythe attaché ni nom spécifique.
Les Mages (tribu Perse polythéiste se disant aussi zoroastriens) sont liés au Christianisme et font référence à l’Etoile de la Nativité.
Le motif décoratif de l’Etoile à six branches a été repris dans nombre de constructions Chrétiennes, juives et Musulmanes. Ce n’est que vers le XI siècle de notre ère que l’étoile est associée aux premiers ’’Codex’’ du Judaïsme.
Aussi, il me semble ’’osé’’ d’avancer l’hypothèse d’une ’’invention’’ indépendante de ce motif par les israélites, alors que ce motif existait déjà abondament dans le milieus dans lequel il apparaît (= adopté) comme ’’motif’’ spécifique du Judaïsme.