@Ouam (Paria statutaire non vacciné)

Il faut savoir plusieurs choses « officielles ».

D’abord que jamais aucun virus n’a été identifié « directement » depuis une sécrétion humaine. Toujours le génome des « virus » a été séquencé depuis une culture.

Comme se passe cette culture ? 
Et bien, cette culture est composée du « prélèvement » réalisé sur le malade. Il y est « adjoint » des cellules de rein de singe vert, dites « cellules VERO », qui ont cette particularité génétique de ne pas produire d’interféron de type 1. « L’idée sous-jacente » c’est que ces cellules ne vont ainsi pas nuire à la « prolifération virale ».
Dans la culture, il n’y a pas seulement ces cellules animales de rein de singe vert (chlorocebus) mais encore d’autres cellules animales puisqu’on y ajoute du « sérum bovin ». Et puis encore, des antibiotiques sont rajoutés dans la culture afin d’éviter la prolifération bactérienne (parce que chacun sait que les « virus » sont insensibles aux antibiotiques mais, qu’en revanche, ils craignent les interférons).
A savoir que les cellules de rein de singe vert, comme les cellules du sérum bovin, comme toutes les cellules animales, « émettent » dans leur environnement des vésicules extra cellulaires et des exosomes, de taille manométrique. Ces vésicules extra cellulaires et ces exosomes contiennent de l’ARNm et de l’ADN. C’est leur rôle. Lorsque le microscope électronique repère un fragment d’ARN ou d’ADN dans la culture, et qu’il est multiplié par la PCR, alors les chercheurs déclarent avoir découvert le génome d’un virus. D’ailleurs, ces chercheurs s’appuient sur la séquence génétique d’un « virus » découvert précédemment, sans contrôle négatif ou positif bien évidemment, mais répertorié dans une banque de données, comme GISAID par exemple.

’Et ceci doit être accepté pour « vrai » malgré qu’aucune précaution ne soit prise pour écarter les biais méthodologiques.
Ainsi, depuis que les virologues séquencent des « virus », jamais aucun contrôle négatif ou positif n’a été mis en avant dans la méthodologie. Jamais. Rien ne peut prouver que c’est la « méthode elle même » qui produit le résultat parce que « jamais » un prélèvement témoin n’a été soumis au protocole de recherche. La virologie procède avec un manque de rigueur coupable. 

Une recherche scientifique, digne de ce nom, est parfaitement reproductible par d’autres chercheurs. Dans le monde de la virologie, les choses ne se passent pas comme dans la vraie vie scientifique. Nous sommes priés de « croire ». Parce que, n’est-ce pas, les « virus » mutent plus vite que leur ombre ce qui n’autorise plus d’autres chercheurs à mener la même recherche, pour vérification.