@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Vous savez qu’en toutes circonstances l’organisme humain sait faire la distinction du « soi » et du « non soi ». Depuis cette découverte, la raison même de la vaccination, qui a pour but de faire produire « seulement » des immunoglobulines contre une version atténuée de l’exotoxine, n’a plus lieu d’être. D’ailleurs, rien ne prouve que la production d’immunoglobulines ne soit pas le fait de la présence « d’adjuvants » dans la « solution vaccinale ».
La dichotomie immunité innée / immunité adaptative est aujourd’hui une hérésie puisque la recherche scientifique sait pertinemment que certaines cellules de l’immunité innée ont de la mémoire (les cellules NK et les cellules dendritiques par exemple). En réalité, comme pratiquement toutes les réactions dans l’organisme humain, c’est une « cascade » de réactions qui mène à la protection et non une « supposée » immunité adaptative. Et les cellules de l’immunité innée, qui font la part du « soi » et du « non soi », agissent en quelques milli-secondes, déclenchant tout un système de chimiokines qui démarrent des réactions de protection.
Ainsi donc, ce n’est pas la « vaccination » qui vous protège mais la « compétence » de votre système immunitaire, sa capacité à produire des oxydants et, ensuite, des antioxydants pour protéger vo propres cellules. La vaccination, c’est un attrape couillon. Les gros problèmes surviennent principalement quand l’équilibre « redox » est rompu dans l’organisme, le stress oxydatif l’emportant sur les capacités antioxydantes. C’est ainsi que dans les services de soins intensifs, une très grande attention est apportée aux protocoles « antioxydants ». Ce sont ceux-ci qui, en dernier recours, peuvent sauver des vies.
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2007/02/medsci 2007232p173/medsci2007232p173.html